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     J’espère que vous aimez les histoires de fantômes. Voici une  fan fiction d'après le film sorti en 1963 « La Maison du diable « ( The Haunting ) est un film britannique réalisé par Robert Wise avec Julie Harris et Claire Bloom d'après le roman « The Haunting of Hill House « de Shirley Jackson. Le film, sous le titre « hantise « ( The haunting ) fut l'objet d' un remake par Jan de Bont ( Speed ) avec Catherine Zeta-Jones, Lilly Taylor, Owen Wilson, Liam Neeson.


    Le tournage a débuté le 1er octobre 1962 et s'est déroulé à Alderminster, Borehamwood et Stratford – upon – Avon ( notamment au manoir d'Ettington Hall, pour les prises de vue extérieures, qui est devenu depuis un hôtel de luxe ).

    Le prologue est plus le résumé du début du film de 1963, il prend les mêmes personnages, le docteur aussi porte le même nom que dans le film et la demeure.
    Je vous souhaite une agréable lecture.

     the haunting


    lecture.

     

                 THE HANTING

     

     

    EPILOGUE

                                                    

     House Hill impressionnante demeure de la Nouvelle-Angleterre, témoin de faits sordide marquant à tous jamais  son histoire, son empreinte dans cette somptueuse demeure de style lugubre tout en tourelle et gargouille menaçantes, jamais  maison n’a été autant marque par d’étrange faits-divers symbole de la mort.

     

    Le château a été construit  plusieurs années avant les événements de maintenant, par son illustre  propriétaire , Monsieur Sanderson .

    Homme d' apparence austère tous comme sa demeure, par amour pour sa première femme morte  au cours d 'une promenade à cheval .c’est  en voulant semble t 'il évite  quelque chose , qu'elle trouva accidentellement la mort . Là où elle trouva une fin tragique son époux  érigea une stèle à sa mémoire . Il  avait décidé d’installer le corps de sa femme au salon obligeant sa jeune fille de regarder le corps inerte de sa mère. L’enfant  étant de constitution fragile devait  souvent à rester alitée, monsieur Sanderson prit en seconde noce une femme toutes charmante que sa défunte première épouse et semblait vivement apprécier sa fille, mais elle eut une fin tous aussi tragique que la première femme, on retrouva son corps lendemain matin dans  l’escalier principal le visage figé par la terreur.

     

      Sa fille Abigail maintenant âgée, elle ne s’était jamais mariée,  elle resta toujours dans la demeure de son enfance et même ne changea jamais de chambre même à l’Age adulte préférant ce cocon douillet aux nombreuse chambre du château.

     

    Elle conservait aussi le même mobilier étant toujours de santé fragile et avec l’âge avancé elle décida de prendre une dame de compagnie, qui restera à demeure avec elle, une infirmière venait le soir pour ses soins.

     Mais soir la vielle dame se  sentit mal , elle essaya d'appeler sa dame de compagnie en tirant sur la corde ou était relier une cloche dans la chambre de la dame de compagnie et en cuisine comme toutes les demeure bourgeoise d' époque  . Mais ayant pas de résultat , elle mit a tambouriné au mur  avec sa canne , mais celle- ci se trouvait dehors en très charmant compagnie du jardinier du domaine, ne pouvant entendre les appels de  la dame , elle décéda seules dans son lit , et  étant  sans héritier , c'est la dame de compagnie qui le reçut . Le bonheur fut de courte durée ,  on la retrouva  pendue en haut de la balustrade de l 'escalier de la bibliothèque sur le balconnet . Elle avait gravi un soir  les marches de l 'escalier  en colimaçon  tout en boitant légèrement pour se suspendre avec une corde . C'est ainsi que la dame de compagnie mourut n 'ayant elle aussi pas d' héritier proche , ce fut un lointain parent qui en hérita, d 'après les dires des gens du village le châteaux qui dominait le paysage semblait parfois nous regarde il donner un inquiété sentiment de malaise peut être dû à son architecture de style baroque

     

     

     

     


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  • Chapitre 1

     

    C’est  après la première guerre mondiale en 1923, là dans cette demeure impressionnante témoin d’obscurs faits que le docteur Markway décida d'en faire le théâtre de son expérience hors du commun, lui-même docteur en anthropologie et spécialiste dans les phénomènes paranormaux chose peut répandu pour l’époque. 

     

    Il avait décidé d'inviter une célébré  troupe de comédien de New-York, parmi eux ce trouver le lointain héritier de la dame de compagnie, son nom ne vous est pas inconnu puisque qu'il s’agit du célébré directeur de la troupe de théâtre qu'il  a lui-même fonde monsieur Robert Strafford, était venu  avec lui trois jeunes de ces plus talentueux  comédiens.

     

    On pouvait compter parmi eux, Suzanna Marlowe malgré son handicap et sa santé fragilisé depuis son accident survenu lors d’une répétition, fût  bien sûr convier au château. 

     

    Elle allez mieux depuis un certain temps  Robert s'était finalement décider à l' inviter , elle qui pendant longtemps fut  l 'une de ses principale comédienne , pas  une pièce ne fut monter sans qu 'elle est ne soit au moins à l’affiche , sa carrière alors en pleine essore fut briser net par un tragique accident . Cétait un matin pendant les répétition de la nouvelle pièce Roméo et Juliette est survenue l 'accident qui aurait pu coûter la vie de son partenaire, dont elle était tombée follement amoureuse au premier regard  , sentiment qui loin d' être réciproque pour le jeune homme, en voulut lui éviter que lui tomber sur le projecteur  qui s 'était subitement détache, Suzanna s'est précipite sur lui , mais ne pensant pas à sa personne Suzanna se trouvée , elle coincé sous le projeteur .

     

    C'est les décombres qu'on trouva inerte son corps , elle qui semblait si frêle, on s’est toujours demander comment avait réussi à pousser son partenaire hélas dans son action  et son sacrifice c'est elle qui prit le projecteur, transporter d’urgence à l’hôpital dans état critique, on dut l'amputer d’une jambe.

     

     Mais son sacrifice avait un arriéré goût  amer, pour son partenaire qui n’avait lui aucun sentiment amoureux pour elle, il l’aime tout au plus comme une sœur, jamais il n'aurait envisagé de fiancé avec elle  sans cet accident.

     

      Suzanna se mis à le faire chanter réclamant qui reste tout sa vie avec elle , qui lui avait sacrifier dans son action une jambe et sa carrière tous ce qui compter à ses yeux  , il dut rompre avec sa fiancée de  l 'époque ,chose que Suzanna  connaissait elle-même a éviter que le couple se retrouve  à Chicago ville ou sa jeune fiancée vivait 

     

    La jeune fiancée du comédien inviter à la  première  représentation eu bruit du chantage de la jeune comédienne, ne supportant pas cela, elle se rendit à l’hôpital  mais la trouva sur le toit  en train d'essayer de sauter . Elle réussit à l 'empêcher de sauter ,et lui fit la promesse de rompre pour lui permettre de reste à cote de l’homme qu'elle aime tant . C'est ainsi qu'elle devenue sa fiancée

     

    Ce fut pour le jeune homme une lente descente au enfer , mais depuis quelque temps réussit à se ressaisir,  Terrence était son prénom  homme taciturne  , pas très social mais comédien hors pair , c’était de la graine de talent d' après le directeur de la troupe . Jamais il n 'avait fut éclore aussi vite une  carrière , le seule problème d’après Robert c’était Terry lui-même jamais il n'avait connu quelqu'un aussi désespérer  et destructeur , il mis cela sur le compte de l' accident survenu ; il y a quelque année  .Mais depuis un temps son amour pour le théâtre l 'avait maintenu en vie  , l 'autre comédienne convier fut sa remplaçante Karen Kliss ainsi que sa principal rivale  au théâtre ,dans la vie de tous les jours elle ne se fréquenter guère

     

    Karen étant elle-même fiancé a un comédien mais d'une autre compagnie et aller bientôt convoler en juste noce. Karen était quelqu'un avec un fort caractère, sont plus gros problème était saute d’humeur répéter, elle avait un don de télépathe

     

    L’expérience du docteur Markway pouvait maintenant commencer

     


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  • Chapitre 2

     

    Le taxi que Suzana s’était décidé de prendre s’arrêta devant les grilles du château attendant qu’on leur ouvre. Son fiancé lui avait préféré aller  avec le reste de la troupe, monsieur Hattway et Karen  en train.

     

    C’est face au portail fermé à clef par un cadenas que Suzana  arriva la première, sa mère ne voulait pas qu’elle  y aille, même comme t’habitude et devant l’obstination de sa fille elle  la céda , prétextant que cela lui fera du bien de quitter un temps la ville et puis elle n’été pas seul son jeune fiancé venait madame Marlowe  ne l’aimait guère, mais sa fille était suffisamment éprise de lui. Elle pouvait accepter que la force de ses sentiments ne soit pas tout au moins réciproque

     

    Le gardien alla lui ouvrir les grilles, s'est un homme d’apparence peu aimable   il  s’avança vers Suzana est lui dit

     

    - vous étiez sur de vouloir entrée ?

     

    - oui, je suis vivement attendue à l’intérieur, monsieur  pouvez-vous avoir l’obligeance de bien vouloir n’ouvrir le portail, vous sache sans doute que suis un illustre comédienne de Broadway

    Suzanna le  regarda avec un peu de dédain

     

    Le gardien ouvrir les grilles et taxi entra pour déposer sa jeune cliente , il lui répondit

     

    -moi le théâtre j’en rien à faire, vous étés sur mademoiselle de vouloir entrer, la nuit  vous y serai seul personne n’entendra vous cri dans l’obscurité frappante

     

    - Oui de façon mon fiancée viendra de toutes façon , il tellement fou de moi qu'il sauvera des griffes de l 'enfer

     

    -bien, j’aurais au moins essayé de vous prévenir

     

    Le gardien se poussa sur le côté pour laisser entrer le taxi

     

     C’est dans un léger brouillard que Suzana découvre pour la première fois la demeure, elle se sentit immédiatement happé par cette impressionnante demeure, elle sentait en fin chez elle

     

    Les châteaux par moment donner l’impression à n’importe quel visiteur, qu’on le fixer étrange, comme si le château avait des yeux et nous regardait fixement. Elle étendait des voix lui murmure

    « Viens là »

    Suzana depuis quelque temps s’était décider parfois d’utiliser une prothèse de jambe qui n’était encore  au point ,même  avec la fin de la guerre , et aller devenir à fils des temps plus performant . On était  encore à ces balbutiements.  Elle marcha vers l’entrée, le chauffeur l’aida, il déposa son fauteuil  roulant et ses bagages dans l’entrée et  repartit après  avoir été régler

     

    Elle fut immédiatement pris en charge par l’intendante du château accessoirement femme du gardien, elle accompagna Suzana jusqu' à sa chambre qui se situe au premier étage

     

    Tous ces effort  la fatiguent, l’intendante voyant les difficultés de Suzana de monter  l’escalier lui prit sa valise , ce qui l’aida beaucoup et d’un regard la remercia. Elle servait quasiment plus de ses béquilles  mais avait toujours besoin de son fauteuil, elle s’y installa comme sa prothèse commencer à lui faire mal, pour l’époque elle était assez lourde pas facilement maniable, mais Suzana devait faire avec .

     

    La pose d' une prothèse  l 'avait permis d’être plus automne ,mais elle dépendait toujours  autant de  son Terry , son fiancé , c' est pour lui qu'elle avait sacrifier sa jambe , sa carrière .

     

    L’intendante Marie c'est son nom s’arrêta devant la chambre de Suzana est lui dit

     

    - le château est immense et je n’ai pas le temps de faire correctement le ménage, me n’en voulait pas,  je suis ici seul pour n’en occuper : dans ton tes plus neutres possible

     

    Suzana regarda sa chambre, elle est d’aspect propre et assez grande .  Il  y avait deux lit d’une personne en fer forge  à cote des dessus de lit en velours de couleur violine, un grande cheminée de marbre, les tentures murales dans les tons pourpre  avec quelque représentant des paysages champêtre, mais une salle de bain commune et dans un ton solennelle l'intendante reprit 

     

    -j’espéré que vous n’étés pas trouillarde, ici la nuit il y a personne et personne ne vous entendra crier en plein nuit. Le plus proche voisin se trouver à 15 km ,mon mari et moi nous  rentrons  le soir chez-nous au village.  Si vous avez un accident personne ne viendra vous secourir . La caserne des pompiers est a plus de 30 km, la nuit ici vous serez seule, le téléphone ne fonctionne pas tout le temps, il est préférable d’utiliser le télégraphe , mais de nuit il ne fonctionner pas, vous  avez donc aucun moins la nuit de joindre le village. Le petit déjeuner, est servi à 8 heures  le déjeuner à 12  heures  et dîner à 17 heures, je les mets sur la desserte , vous n'avez qu'à vous servir. Je vous ai dit le soir , je n’aime pas n’attarde aux châteaux , je quitte mes fonction à 17 heures 30 et les reprends à 7heures 30 . Vous toutes seules a châteaux de 17 heures 30 jusqu’à 'à 7 heures 30 du matin

     

    J’espère vous avoir dit tous ce qui valait savoir 

     

    Sur ces mots l’intendante alla accueillir le reste des invités

     

    Suzanna prit place dans sa chambre, elle alla dans salle pour se rafraîchir, mais la curiosité étant plus forte. Elle ouvrit la porte de la chambre de sa voisine et découvrit Karen s’installant tranquillement

     

    - Suzanna c’est toi, je suis content d’avoir à partager la salle de bain avec toi, j’espère que tu as fait bon voyage

     

    Sur ces mots l’intendante entra et voulut dire mais elle fut interrompu par Suzanna qui essaie d’imiter du mieux l’intonation de l 'intendante

     

    -la nuit au château on est seul, les pompiers sont à 30km, le voisin le plus proche à 15 km . Personne la nuit ne viendra vous aider vous étés seul

     

    L’intendante repris

     

    - je vois que avez bien écoute . Les repas son servit à heures fixe . Je pars à 17 heures 30 à partir de cette heures vous demeure seules au château et je reviens à 7 heures 30, la nuit je m’aimai absolument pas n’attarde au château

     

    La dame partit accueillir le reste des convives

     

    -c'est quoi ? dit Karen

     

    -tu as remarqué, le soir vous étés seul personne ne vous entendra il aucun moyen de communiquer avec le village, Suzanna s'arrêta pour nous au théâtre pour nos rôle attention Karen  à ta place il y a de la concurrence

     

    Karen et Suzanna sur ses paroles éclatèrent de rire

     

    -OH SUZANNA, ça fait longtemps que je n'ai ri comme ça , montre-moi ta chambre dans un des tons des plus chaleureux

     

    Suzanna voulut  lui faire voir sa chambre mais quelque minute après on frappa à la chambre de Karen. Le docteur Markway  venait de se présenter à ses invites

     

    -j espéré que vous n’avez  pas de difficulté pour trouver le domaine,  il se tourna vers Suzanna. J’espère Suzanna que vous allez bien,hélas il n’y aucune chambre au rez de chaussé. Je sais que ce n’est pas pratique pour vous, mais on va faire en sorte que votre séjour au château ce passe le mieux du monde . Si vous avez un quelconque problème, veules n’appeler à n'importe quel heure de la nuit ou du jour, je serai ravis de vous rendre servir

     

    - ah , merci ! mais mon fiancé est là ,  il m 'aime à la folie, merci docteur mais je pense qu ’il m 'aidera si j'ai un  problème , merci dit Suzana en rougissant se sentant de plus en plus attiré par le docteur Margway , homme d’age mur  qui avait beaucoup de charme , il était assez  chaleureux

       

    Karen remarqua l’empara de Suzana elle voulut dire quelque mots mais fut interrompu

     

    -je fais vous faire visiter la suite du château il regarda Suzanna, avez-vous besoin de votre fauteuil ? je l’ai fait monter pour vous à l’étage 

     

    C 'est avec beaucoup de compassion que le docteur s'exprime avec Suzanna .  Dans le long couloir rempli des portrait des illustres anciens propriétaires dont monsieur Sanderson et sa femme, il avait l 'air d'un couple heureux malgré l 'air austère  de l 'homme , sa femme elle souriait elle avait de beaux cheveux blond presque vénitien

     

    -non, bizarrement, je ressens moins  de douleur à  ma jambe  ici au château répond Suzanna avec son sourire charmeur

    Suzanna souriait devant la vue des tableaux est dans son for intérieur elle se dit

     

    «  Il sera à moi pour l’éternité, il m’a juré  de m’aimer il y arrivera à la fin, j’attendrais toute ma vie si il le vaut »

     

    Sur cela le docteur les fit entraient au salon, là où le restes des invites les attendaient

     

    Monsieur Hatthaway et Terry les attendaient , Terry n 'était guère plus aimable que cela avec Suzana . Il avait seulement demandé si elle n’avait pas eu de problème pour localiser le châteaux ,et lui  demanda si elle allait  bien , en la voyant marcher avec sa prothèse  . Elle s' était décider depuis à quelque temps à  mettre  Terry replongeant dans lecture passionnante de son livre d 'Alfred de Musset confession d 'un enfant du siècle tous en essayant du mieux qu’il pouvait d' ignore Suzanna qui se pâmer d' admiration devant lui

     

      Mais c’était en partis grâce à l’aide d'un  mystérieux milliardaire dont je sais que vous connaissez  l’identité le célébré et unique  William Albert André de Chicago, père adoptif de l’ancienne fiancée de Terry, Candice Neige – André plus connu sous le nom de Candy. Si Suzana avait su que ce mystérieux  soutient venait du père adoptif de l 'ancienne fiancée de son Terry jamais elle n' aurait accepter l 'offre , chose qui aurais encore plus alourdi la charge de son jeune fiance , ne trouvant aucun logement au rez de chausse au goûts de Suzanna  . Il fut contraint de rester loger chez la mère de Suzanna qui logeai au dernier étage d'un immeuble de 12 étages sans ascenseur . Il devait tout le temps la portée dans ses bras pour sortir  , l’emmené chez spécialiste , manger à son restaurant préféré , chose que Suzana profita car en dehors des fois où il la prennent dans ses  bras pour l'aide ,  elle pouvait ses rarement moments sentir le délicat parfum du jeune homme une flagrance boisé. Il était pour elle comme un aide-soignant et non fiancé . Mais jamais le jeune homme lui montrai aucun signe d’affection,  elle s’en fichait complètement, elle  n'aime suffisamment pour eux deux

     

    Suzana est quelqu'un de très exigeant et supportant  aucune contrariété ,  malgré son air angélique doux et calme se cachait un être tous aussi complexe . Aucun appartement lui convenait, c'est avec soulagement que Terry appris la nouvelle d’une soi-disant assurance en mesure de payer l’intégralité de ses soins médicaux. Il fut également surpris de la voir si facilement accepter le port d’une prothèse. Suzana pensait que si elle pouvait remarcher peut être réussira  t 'elle a arriverai plus facilement à conquérir son cœur   débarrasser de son sentiment de culpabilité , elle essaya au moins de vivre dans l' illusion qu'un jour son amour serai réciproque .Jamais dans sa courte existence , on lui avait refusé quelque chose , et elle pensait que l 'amour de Terry aller avec . Sa mère l 'avait élever seul à la mort de son père , la cédant plus que ce soit à ses multiple caprices . Elle voulut être comédienne,  elle l' était , elle aurai voulu la lune , sa mère aurait été capable de lui décrocher .

     

    Jamais Suzana n’avait  pas obtenue ceux qu'elle voulait d’un regard elle désirait et souhaiter Terry de tout son cœur


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  • Chapitre 3

     

    Après avoir expliqué le but de leur venue : dans le  but de comprendre le mécanisme complexe , dans une situation précise d’un groupe d'individus confronté à vivre isolé dans une maison dite hantée quel sera leur réaction en cas de stress . Vue l' heure tardive  après avoir  manger  le repas du soir , ils  se quittent dans le couloir qui les mener  à leur chambre Terry dit

     

    - le fantôme qui viendra  cette nuit ne rendre visite sera t’il mâle ou femelle

     

    - oh, Terry ne dit-pas cela  lui répondit Suzanna et pensa   «  tu m’appartiens me l’oublie surtout pas »tout lui lançant son fameux regard de mécontentement, Robert pris la parole

     

    - tu toujours aussi taquin, je pense qui c’est un fantôme femelle, elle sera agréablement surprise

     

    Terry était plutôt bel homme son charme et sa démarche d’aristocrate anglais l’aidait beaucoup . Robert s’était demander comment Suzanna et lui s’était mystérieuse fiancé lui qui en public  ne montrai guère son attachement pour la jeune femme, mais il pensait que ça devais venir de son éducation anglaise .

     

    Le docteur dit

     -je vois que nous avons quelqu'un qui aime faire de l’humour , bonnes nuit  mesdames

     

    Terry et Robert étaient déjà partis rejoindre leur chambre le docteur se trouvait seul avec les deux femmes

     

    Suzanna inquiété lui répondit

     

    - on n’a pas fermé à clef la porte d’entrée docteur

     

    -appelle moi John, cela n’a pas d’importance, si cela peut vous rassurer je n'étendrai pas  les lumières en bas dit le docteur dans un ton des plus charmant il les quitta

     

    Le docteur John Markway est un homme d’apparence soigneuse élégante, il avait une fine moustache comme Clark Gable. Karen prit la parole

     

    -oh, Suzanna si vous ne sentez pas précipitez-vous dans ma chambre. Puisse- je  entrer dans votre chambre ? je voudrais vous parler  elle marqua un courte pause et repris Suzanna, vous avez l’intention de changer de coiffure ? je voudrais aussi vous parler. Je sais-ce qui vous conviendra , ainsi que de la nouvelle pièce que souhait monter Robert  si cela ne vous déranger pas .

     

    -oui Karen, j’ai envisagé de changer de coiffure, merci mais pas ce soir, je suis exténuer, je tombe de sommeil .

     

    - n’oublier pas Suzanna , nous avons rendez-vous pour le petit déjeuner

     

    Sur cela les deux femmes ce quittent, Suzanna s’allongea encore vêtu de ses vêtement de jour sur le lit moelleux et douillet en fait c’était deux lit d’un personne mis côte à côte, pensant

     

    « je suis malgré tout si chanceuse : tous en baillant au corneille un jour : il m 'aimera moi il l 'oublier cette mocheté ,  il m 'aimera moi comme je l 'aime  , il ne le dois ,  ah qu'est-ce que je suis fatigué »

     

    Mais avant  de se coucher Suzanna eu un pensée pour son défunt père il était mort dans d’atroce souffrance, la nuit elle l’entendait gémir de douleurs .

     

    La nuit on l'entendait taper au mur il l’appelle en tirant sur une corde ou était relier une clochette. Son accident de travail survenu sur le chantier dans les docks  l’avait handicapé, il souffrait aussi d'une forte fièvre difficilement soignable 

     

    Suzana se vêtis pour la nuit et coucha. Mais un silence pensant régner dans la demeure  . On sentait seulement le carillon de l’horloge du couloir  . Il devait être au allant tour de nuit quand Suzana essaya en vain de trouver le sommeil  . Mais dans l’imposant silence d’étrange bruit firent leur apparition,  strident résonnant percutant elle essaya de trouver l’origine du dit vacarme mais était dans l’incapacitante de dire l’origine soudain elle hurla recroqueviller dans son lit

     

    - arrêtez, mais arrêtez, je demande de cesser ce vacarme

     

    Elle regarda autour d'elle mais ne fit rien elle étendit la voix de  son amie l 'appelle

     

    -Suzana, vous allez bien, venez ? 

     

    Suzana sortit, enfila son peignoir remis sa prothèse et alla dans la chambre de son amie Karen , entra  dans salle de bain commune . Elle avait pris ses béquilles au cas où, elle arriva dans la chambre de Karen

     

    - Karen, tu les étends les bruits ?

     

    Karen la regarda terrifier, les bruits qui s’étaient apparemment calme reprirent  en intensité, 

     

    -mais arrêter,  Suzana  à cote de Karen assise sur son lit essaya  de trouves l’origine des bruits ses yeux scrutèrent la pièce  à leur recherche elle reprit, Karen vous étés frigorifie

     

    Sur ses mots elle mit sur Karen un châle en laine, pour une fois Suzanna semblait prendre soin d’une autre personne qu'a l’habitude, Suzanna prit Karen dans ses bras essayant de la rassuré

     

    - sais-tu d 'ou vienne les bruits ?  demande Karen inquiété

     

    -non je ne sais pas ?

     

    Les bruits  d'un coup cesseraient on pouvait seulement entendre le carillon de l’horloge du couloir, laissant pratiquement la maisonnée dans un calme relativement olympien

     

    -tu crois que va recommencer cette nuit ? Suzana !

     

    Elles se mirent donc à pousser des cris d'effroi

     

    Sur ça le docteur suivit de Terry et de Robert entrèrent dans la chambre ou s’étaient réfugiée les deux femmes il leur demanda

     

    -allez -vous nien ?  nous étions dehors a la recherche dans la cabane du jardinier d’un tournevis . on a étendu là l’aboiement d’un chien , ceux qui nous a retardés, ont essayé de savoir où il avait fuit . Il semblerait que la maison cherche à nous séparer

     

    -docteur questionna Suzanna avait étendu les bruits ?

     

    -non, on était dehors, vous l’air pas bien Suzanna vous devez aller impérativement vous reposer . Cette nuit il ne sera pas prudent de vous laisser  et pour la durée de votre séjour, je n’aime pas vos sentir seule-il marqua  une pause

     

    Suzanna était ravi de la proposition du docteur pensant en profiter pour pouvoir passer un nuit et même plus  avec son Terry,  sans chaperon lui qui ne s’était jamais décider à faire d’elle une femme respectable, le docteur reprit la parole

     

    -je pense qu’ 'il sera préférable que Karen dorment dans votre  chambre pour le restant du séjour .  Moi, Robert et Terry à tour de rôle on montera la garde, dormaient mesdames sur ces mots .

    Le docteur partis, Suzanna  essaya en vain de protester qu 'elle aurait préféré la compagnie de son Terry, mais il déjà repartit.

     

    Karen partis  donc s’installer dans la chambre de Suzanna, elle n’avait pas l’air aussi malheureuse de la situation, elle au moins sa compagnie ne la dérangeait pas, ne supportant pas de reste seule la nuit dans sa chambre après avoir entendu ses bruits

     

    - Je sais Suzana, je ne suis pas celui que  t'aurai voulu comme partenaire de chambre.

    Suzana comme à son habitude boudée de son coin.

     

    - ce n’est pas la peine de ne bouder Suzanna. Je ne suis pas responsable, moi au moins  jamais  Je n'ai provoqué d’incident grave ni voler de fiancé ni coupé du sais quoi !et nous au moins je serais bientôt une femme honnête pas comme toi . Dort ben ma belle : Karen s’adressait à Suzanna sur un ton des plus autoritaire cette fois

     

    Suzanna toujours d'humeur chafouine

     

    - répété je que tu viens me dire Karen .

     

    - tu sais très bien je que j’ai dit ?

     

    - je suis fatiguée, si nous dormons, à demain Karen 

     

    -à demain Suzana bonne nuit répondit Karen avec une voix un peu trop mielleuse

     

    Les deux femmes s’endormirent rapidement après  ces étranges phénomènes

     


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  • Chapitre 4

     

    Lendemain, Robert, Terry, Karen et le docteur ayant tranquillement fini de manger leurs petit déjeuner , laissant Suzanna dormir paisiblement, ils discutèrent de la cour de la journée

     

    C’est vers l’heure de 9 heure 30 que Suzanna emmargea enfin de sa léthargie, elle rejoindre le groupe à la salle à manger l’intendante ne l’avait pas attendu pour commencer à débarrasser la table.

     

    Le docteur surpris de voir enfin  Suzana lui dit

     

    - Avez-vous bien dormi ?

     

    Suzana furieuse regarda Karen

     

    - d’aurais peu au moins ne réveiller !tous la fusillant du regard 

    Le docteur prit la défense de Karen

    - je n’ai pas elle qui vaux blâmer, sachant que vous avez eu une nuit difficile, je lui ai demandé de vous laisser dormir . Que prendrez-vous comme petit déjeuner ? tous en lui souriant amicalement

     

    -seulement une tartine de confiture  et un café sans sucre Suzanna se sentait un peu troublée par le docteur Markways elle pensait que peut-être il la désirait ? tous simplement  tous ses marques d'attention de sa part voulez dire quelque chose ?  elle se mit à le désire de tout son être , elle en  oublia  son Terry devant l’attention du doux docteur . Il apporta  son café et sa tartine  et avec encore son sourire charmeur à Suzana qui était ravie de l’attention accorde par un si élégant homme

    - ce matin je fais vous transmettre des cahiers et voudra noter ce que vous ressentez, c'est important et noter mesdames vos impression de hier soir

     

    Le groupe prie donc les cahiers à leur disposition . Toujours  regroupé dans le salon Terry et Robert discutant vivement de la nouvelle production une pièce de William Shakespeare Hamlet , et de  la maniéré de la produire à Broadway prochainement .Terry était lui très heureux du choix du rôle du prince du Danemark lui qui comprenait mieux que qui conque le tourments de son âme , sa vie aussi était une  funeste macabre danse depuis son enfance austère en Angleterre à sa vie de jeune d'adulte . Il n 'aura comme le bonheur de maniéré épisodique, comme si sa joie de vivre lui brûler de l 'intérieur de son être comme les ailes comme un papillon  pris par la lumière des flammes d'une lampe à pétrole . Jamais il se dit dans sa tête il retrouvera jamais  la même sensation de bonheur instance qu'il avait connu après de son ange , son âme sœur. Son cœur d’ailleurs  se languisse d'elle à chacun instant de sa misérable existence , jamais il croyait retrouver le bonheur acquis, mais des tournant de son âme avait servi à quelque chose  à  faire de lui un meilleure acteur . Est ce que l 'on peut joueur des rôles si torture si on ne connais pas le désespoir de l’âme ?

     

    Karen assise dans un magnifique fauteuil en cuir , lissant un passionnant ouvrage sur les jeux divinatoires . Elle arrêta sa lecture en entama une conversation avec Suzanna

     

    -OH Suzie ! je vois que tu as déjà acheté deux de tête de lion  de cheminée . C'est pourquoi faire chez ta mère il n 'y a pas de cheminée ?  tu n'as donc toujours pas  trouve un appartement à la hauteur de toi , la grande Suzanna Marlow  , sur  un ton sarcastique je sais que tu aimes les toucher la nuit seuls dans le noir à ce que je vois !

     Karen aimé jouer avec les nerfs de Suzanna , elle dominait en tout point tout en jouant avec son jeu de tarot qu'elle sortit de son sac

     -tais-toi Karen ça te regarde pas

     

    -je vois que c' est un sujet  tabou  .Au faites Suzanna ça fait longtemps que tu es fiancée toujours pas mariée  ? mais quand est ce que ton fiancé fou d'amour se décidera  pour de demander  en mariage ?  moi avec Trevor cela plus de 9 mois que nous fréquentons , il est décidé de faire de moi sa femme , alors que toi ma pauvre fille  tu ne seras jamais !

     

    -tais-toi  Karen arrêt ! mais cessez de n 'appelle Suzie ! dit 'elle en colère

     

    - Ce n’est pas comme cela que tes parents d'appel ?  plus précisément ton précieux papa . Regarde la vérité en face pour une fois cesser de pleurnicher pour l 'amour de dieux .

     

    Terry regardait se chamailler les deux femmes ,  il n'intervient  pas pour aider  à finir ce conflit . Depuis quelque temps le jeune homme en avait assez des jérémiades de sa soi- dite fiancée . Ce fut le docteur qui intervient pour mettre fin à ce conflit, Terry se replongea  sur son ouvrage passionnant de Musset ,  lui aussi il comprenait l 'histoire du livre qui le passionnait

     - Après que Suzanna  aura fini de manger, nous allons commencer la deuxième phase de l 'expérience .

     

    Après le petit déjeuner  , le docteur les invita à le rejoindre en dehors dans une petite dépendance,

     

    Le groupe se retrouva dans le jardin d 'hivers de la propriété et son milieu représentait une statue représentant  deux femmes un enfant et trois hommes . Le docteur prit la parole après avoir longtemps parler de l 'histoire de ses illustre propriétaires

     

    - comme vous le voyait la statue représente un groupe de personne comme nous .

     

    Sur cela Karen répondit

     -moi , je trouve que Suzanna , ressemble à la dame de compagnie  .....

     

    -tu trouve ! dit Suzanna surprise de la comparaison

     

    -pourquoi pensez-vous Karen que votre amie ressemble à la dame de compagnie ?demanda le docteur

     

    -mais !... par ce que ... , je crois que c'est  la ressemblance  entre physique Suzanna et la dame de compagnie ...

     

    Mais n 'eut pas le temps de finir qui vent glaciale entra dans la pièce qui fit frissonner de froids les personnes dans la salle

     

    - il fait froid allons on va poursuivre le reste de la visite dit le docteur

     

    Mais dans les murmure du vent Suzanna crut étendre :" c' est de sa faute l 'accident , elle est responsable .  Oui il vaut qu'elle paye oh la menteuse tout ça c 'est de sa faute Suzie "

    Elle prit sur elle  ,mais elle était inquiété  mais fit surpris d'entendre encore des voix " cela me va t 'il pas cesser , non Terry est à moi il ne le doit et mais il devrais me couvrir de ses plus ardents baisers . J 'ai sauvé sa misérable existence" mais une voix lui répondit" tu sais quoi faire pour que ça s’arrêter"

    " non jamais il est à moi elle ne la promis "

    cependant pensant  qu'on avait entendu ses étrange murmure et un court instant , elle se vit danser avec ses deux jambes autours des statues, et  fut interrompu dans sa rêverie par le docteur inquiété du comportement  étrange de Suzanna il se voulait rassurants

     

    -Suzanna  vous allez vous  bien ? on va aller dans la bibliothèque.

     Terry demanda

     - Ce n’est pas là que le dernier propriétaire est mort ? 

    Tous en dirigeant vers la bibliothèque

     -oui c' est exact la dame de compagnie , en désignant l 'impressionnante escalier en colimaçon, c'est en haut de cette escalier sur la balustrade qu'elle s 'est pendue

     

    - quelle horreur !  s' exclama Suzanna

     

    Karen dit

    - ce n'est pas comme ça que c'est tue ton père SUZIE

     

    le père de Suzanna quand elle était  encore toute jeune décéda de cause inconnu après un accident de travail survenu alors qu'il était Dockers . On sait  de quoi  il souffrait  a part d 'une forte fièvre . C' est une nuit ou elle était seule a surveille son père , sa mère à l 'époque travailler de nuit , il avait sans essayer de l 'appelle en tapant  sur le barreaux de son lit . Mais Suzanna ne s' était pas réveiller , du moins ce  que l 'on croit, Suzanna avait marre la nuit de se faire réveiller , elle voulait à sa mère de la laisser seule avec son père . C'est le matin qu'il fut découvert mort dans son lit avec autours de son coup la corde qui le servait a appelé en cas d'urgence

     

    -MESDAMES nous ne sommes pas là pour nous querelles ! dit le docteur dans un ton des plus agacé

     

    Terry était comme un enfant dans un magasin de jouet , il parcourrait la bibliothèque est  fit surpris par ses découvertes 

     - le propriétaire ,  est un homme de goût il possédé la première édition folio de l 'œuvre de Shakespeare , c'est très intéressant .

     

    -si vous voulez ?  vous pouvez prendre pour ce soir un livre

     

    Terry voulut monter l'escalier en colimaçon ? là où s'est tuer la dame de compagnie . Mais vu la vétusté  de l 'escalier qui menacer de s’écrouler , arriver a peu après à mi parcourt ,  il n' eut que le temps de sauter pour éviter un accident et  avant que ne s' écroule l 'escalier . Il eut de la chance l’escalier lui demeurait toujours intact les vis de l 'escalier semblait a tout moment se détache du mur ou elles étaient fixées

     

    ils quittèrent certain à regret la bibliothèque  Robert heureux des trouvaille d' aujourd’hui  ,de si ancien  livres jamais il en avait supposer l 'existence dans sa bibliothèque , car tous cela lui appartenait lui le dernier héritier  . Il envisage de transforme le châteaux en lieu ou pouvait se mêle le théâtre outre le premier folio , la bibliothèque possédait d' ouvrage copie de pièce . Un temps robert Hattway s'était envisagé de se mettre à l 'écriture de pièce  mais l' inspiration ne venait pas

     

    Âpres avoir quitté la bibliothèque , Suzanna s' aventura seule , elle découvrit un balcon , voulant regarde mieux la vue Suzanna   regardé les gargouilles qui la menace avec leur air terrifiant et semblaient lui parler  , mais  elle se pencha  hélas un peu trop en arriéré

     

    Elle étendait toujours ces murmures , se mit à hurler

     

    -je ne suis pas responsable de l 'accident !  je n 'ai rien provoqué , je l 'aime moi ou moins jamais je ne le quitterais  ! il m 'aimera à la fin il ne la jurée à l 'hôpital tous en sanglotant

     

     Les voix disait : c' est elle , oui , c'est elle ,elle là fait  elle n' a pas honte de ses actes

     

    Le docteur vit en apparition sur le balcon à tant empêchant Suzanna de basculer dans le vide

     

    -heureusement je suis arrivé à tant . Suzanna faites plus attention ,vous auriez pu vous tuer  . J'arrive toujours à  temps pour sauve dit le docteur avec son sourire tout aussi  charmeur

     

    - vous étés mon chevalier servant que j 'ai toujours voulut merci John , merci de tout mon cœur

     - j 'ai hélas j 'ai  pas de cheval blanc, ni d' armure . Mais j 'en serai ravi , je vous remercie de la comparaison très chère Suzanne il prit dans ses bras pour la réconforté dans un ton des plus doux 

     

    Elle répondit

     -parfois j 'ai l 'impression que la maison ne regarde

     

    Sur ça  Karen efit son apparition et monsieur Margway dit

     - je ne veux en aucun que Suzanna demeure ici seule  , Karen je suis clair , vous devez veille sur elle .

     

    -ça n 'a pas l 'air d' aller bien  Suzanna ?  Suzie il faut que tu rentres . On va bientôt manger  dit Karen sur ton plus maternelles cette fois inquiété malgré leur rivalité pour celle qu'elle essayer de considérer comme une camarade

     

    Suzanna commençait  à trouver séduisant le docteur Markway . Elle fut même surprise par  l 'attention qui pouvez lui porte jamais son Terry se serai conduit avec elle comme cela ,  préférant parfois jusque aller tous simplement l 'ignorer . Il s ' isolait  dans sa chambre jouant de  longue heures avec son harmonica , il se voyait  ainsi retourner au collège de saint Paul  , malgré les sordides locaux  pour le jeune homme se sont les jours les plus heureux de son existence .

     

    Karen essaya de mettre Suzanna en garde , sur les sentiments qu'elle commençait à éprouver pour ce charmant docteur . jamais de sa vie ,  un homme ne lui avait montré autant d' importance .

    Mais Suzanna toujours obstinée  dans ses propres fantasmes pouvait 'elle se confronter à la réalité en été t 'elle capable ?

     

    Au loin sur le château on pouvait deviner des ombres qui se formèrent sur le toit .

     

     


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