• rumiko takahashi

    rumiko takahashi

    C'est une des plus grandes mangakas au Japon, née le 10 octobre 1957 a Niigata sur l'ile de Honshu au Japon. Elle commence son premier en 1978 : Kattena Yatsura (prélude d' Urusei Yatsura et également appelé Those selfish aliens)

    Elle remporte dans la catégorie Shōnen à deux reprises, en 1981 pour Urusei Yatsura, puis en 2002 pour Inu-Yasha.

     Rumiko Takahashi ne portait que peu d’intérêt aux mangas durant son enfance ,  son intérêt pour les mangas ne vint que plus tard. Durant son séjour à l’université de Tokyo , elle s’inscrivit au Gekiga Sonjuku, une école de manga fondée par Kazuo Koike, mangaka de Crying Freeman et Lone Wolf and Cub. Sur ses conseils, elle commença à publier ses premiers dōjinshi en 1975, tels que Bye-Bye Road et Star of Futile Dust.  

    Maison Ikkoku est souvent considéré comme l’un des meilleurs mangas romantiques de tous les temps. 

    Elle est la mangaka la plus lue au monde   plus de 200 millions d’exemplaires de ses œuvres diverses ont été édités

    rumiko takahashi

    Œuvres majeures

    1978 - 1987 : Urusei Yatsura  (34 tomes)

    1980 - 1986 : Maison Ikkoku  (15 tomes)

    1984 - 1994 : Mermaid Forest ) (3 tomes)

    1987 - 1996 : Ranma ½  (38 tomes)

    1987 - 2007 : One-Pound Gospel  (4 tomes)

    1996 - 2008 : Inu-Yasha  (56 tomes)

    Depuis 2009 : Rinne  ( 30 tomes)


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  •  Yumiko Igarashi 

     

     Yumiko Igarashi  est née le 26 aôut 1950 à Asahikawa "Hokkaidö" , elle commence sa carrière de mangaka en 1968  alors qu'elle était encors lycéenne .

    sa première histoire l'île au requin blanc fût publié dans dans un numéro spécial de Ribbon célebre mensuel pour jeunes filles du groupe Shuesisha . Après elle est embauchée pour dessine régulièrement dans Nakayoshi ,le magazine pour prè-adolescents du groupe Kodansha . En 1975 c'est dans ce magazin qu'elle dessinera Candy dont le scénario est confie a à Kyoko Mizuki .Le succès est phénoménal : une génération entière de jeunes filles se reconnaît dans la jeune héroïne et les poupées Candy se vendent à plus de 2 millions d’exemplaires par an, un record pour le Japon de l’époque.
    Yumiko Igarashi, a contribué à la reconnaissance du shōjo, manga destiné à public féminin, en France, grace a ses magas comme Lady georgie éditte chez black box édition ,mayme angel  ,l'épée de paros ,Roméo et Juliette , madame Bovary , la saga Anne au pignon vert chez isan manga et chez pika édition Josephine impératrice 

     

    Yumiko Igarashi est réputée pour ses héroines au caractére affirmer et l'élegance de son coup de crayon a fortement influencé ce style, même des décennies plus tard.

    Elle a reçu pour Candy Candy le Prix du manga de son éditeur Kōdansha en 1977, catégorie Shōjo, à égalité avec Marc et Marie (はいからさんが通る, Haikara-san ga tōru?) de Waki Yamato.

     Yumiko Igarashi la reine du shojo

    oeuvres majeurs :

    1968 - Shiroi Same no iru Shima début 

    1975 : Candy Candy 9 tomes

     1979 : Mayme Angel 

    1982 Coque pockel 

    1982 Lady Georgie !

    1985 Anne 

    1987  l'épée de paros 

    1993 muka muka paradise 

    1995  romeo et juliette

    1997 madame bovary 

    1997 anne et la maison au pignon vet 

    1997 Anna Karenina 

    1998 heidi 

    2011 josephine impératrice 

     


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  • Kauru Mori née le 18 septembre 1978 à Tokyo , c'est une mangaka connut pour ses deux série ,Emma "victorian romance Emma "qui a eu le droit a une adaptation en animé et son plus grand succés Bride story    

    Kaoru Mori              Kaoru Mori

    son style de dessin est reconnaissable ,on remarquera la précision de son trait et  les détails . Il existe aucune photos de  la mangaka juste cet autoportrait 

    Kaoru Mori

    Kaoru Mori a réalisé quelques dôjinshi sous le pseudo de Fumio Agata. Elle fera s'est début avec la série Emma qui lui valut de gagner le prix d'excellence 2005 au japon média arts festival  

     source gifs Tumblr 

     Kaoru Mori  Kaoru Mori

    Kaoru Mori   Kaoru Mori

    Kaoru Mori  Kaoru Mori


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  • Née le 12 mai 1949Moto Hagio (萩尾 望都Hagio Moto?) est une mangaka connue comme la « mère du shōjo moderne » et plus particulièrement du shōnen-ai. Elle est aussi membre du Groupe de l'an 24. source wikkipédia 

     Moto Hagio  est l’une des premières artistes féminines qui a osé enfreindre les codes du manga qui, dans les années 60, imposaient à ces dernières des histoires simplettes à l’eau de rose. À l’image du grand maître Osamu Tezuka, elle n’hésitera pas à explorer divers horizons, allant de la saga vampirique aux récits de SF à la Ray Bradbury, maîtrisant au passage les critiques sociales ou les fables amères. Tout en gardant un trait élégant, ses œuvres dépassent largement les frontières que l’on attribue habituellement aux shôjo manga et prennent une dimension universelle qui ne manquera pas d’intéresser tout lecteur curieux, habitué ou non au manga. source www.glenatmanga.com › Univers Vintage

     Moto Hagio

    Moto Hagio fait ses débuts professionnels en 1969 à l'âge de 20 ans avec la publication de sa courte histoire Lulu to Mimi dans Nakayoshi. Plus tard, pour l'éditeur Shōgakukan, elle produit une série de petites histoires pour divers magazines. Deux ans après ses débuts, elle publie Juichigatsu no Gimunajiumu (The November Gymnasium), une courte histoire qui traite ouvertement d'amour entre deux garçons dans un internat. L'histoire faisait partie d'un grand mouvement d'artistes féminins de manga qui ont frayé un chemin vers le genre des mangas pour filles sur le sujet de l'amour entre de jeunes hommes "Yaoi" . En 1974, Hagio développe son histoire dans le plus long Le Cœur de Thomas (Thomas no Shinzo)  .

     

    Récompenses

    Elle remporte le prix du manga Shōgakukan en 1976 pour son manga de science-fiction Ils sont onze ! (Jūichinin iru!) et son conte épique Poe no Ichizoku.

    En 2012, elle reçoit au Japon la médaille d'honneur (l'équivalent de la Légion d'honneur) pour l'ensemble de son œuvre qui a marqué l'histoire du manga depuis les années 1970.

    Bibliographie

    Peu de ses écrits ont été traduits. 

      nouvelle bibliographie plus complete

    • Poe no Ichizoku (ポーの一族?)Shōgakukan, 1974-1976
    • Le Cœur de Thomas (トーマの心臓Thomas no shinzō?), Shōgakukan, 1975
    • Le pensionnat de novembre (11月のギムナジウム11-gatsu no Gymnasium?), Shōgakukan, 1976
    • Ils sont onze ! (11人いる!Jūichinin iru?), Shōgakukan, 1976-1977
    • Alois (アロイス?)Hakusensha, 1976
    • Seirei kari (精霊狩り?), Shōgakukan, 1976
    • Hyakuoku no Hiru to Senoku no Yoru (百億の昼と千億の夜?), Shōgakukan, 1977-1980
    • Tottemo shiawase Moto-chan (とってもしあわせモトちゃん?), Shōgakukan, 1977
    • U wa Uchuusen no U (ウは宇宙船のウ?)Shūeisha, 1978
    • Star Red (スター・レッド?), Shōgakukan, 1980
    • Osorubeki Kodomotachi (恐るべき子どもたち?), Shūeisha, 1980
    • Mesh (メッシュ?), Shōgakukan, 1981-1984
    • Hōmonsha (訪問者?), Shōgakukan, 1981
    • Golden Lilac (ゴールデンライラック?), Shōgakukan, 1982
    • Gin no Sankaku (銀の三角?), Hayakawa Shobō, 1982
    • Mosaic Rasen (モザイク・ラセン?)Akita Shoten, 1982
    • Akakke no Itoko (赤ッ毛のいとこ?), Shōgakukan, 1984
    • Marginal (マージナル?), Shōgakukan, 1986-1987
    • Kanzen hanzai "Fairy" (完全犯罪《フェアリー》?), Shōgakukan, 1988
    • Flower Festival (フラワー・フェスティバル?), Shōgakukan, 1989
    • Umi no Aria (海のアリア?)Kadokawa Shoten, 1990
    • Rome e no Michi (ローマへの道?), Shōgakukan, 1990
    • Aoi Tori (青い鳥?), Shōgakukan, 1991
    • Kansha Shirazu no Otoko (感謝知らずの男?), Shōgakukan, 1992
    • Zankokuna kami ga shihai suru (残酷な神が支配する?), Shōgakukan, 1993-2001
    • Abunai Oka no Ie (あぶない丘の家?), Kadokawa Shoten, 1993-1994
    • Iguana no musume (イグアナの娘?), Shōgakukan, 1994
    • A, A', Shōgakukan, 1995
    • Cake cake cake (ケーキケーキケーキ?)Hakusensha, 1996
    • Kono musume urimasu ! (この娘うります!?), Hakusensha, 1996
    • Hanshin (半神?), Shōgakukan, 1996
    • American Pie (アメリカン・パイ?), Akita Shoten, 2003
    • Barbara Ikai (バルバラ異界?), Shōgakukan, 2003-2005
    • Anywhere But Here (山へ行く?), Shōgakukan, 2007-2016
    • Abunazaka Hotel (あぶな坂HOTEL?), Shūeisha, 2008
    • Leo-kun (レオくん?), Shōgakukan, 2009
    • Hishikawa-san to Neko (菱川さんと猫?)Kōdansha, 2010
    • Nanohana (なのはな?), Shōgakukan, 2012
    • Lulu to Mimi (ルルとミミ?), Shōgakukan, 2012
    • 10-gatsu no Shōjotachi (10月の少女たち?), Shōgakukan, 2012
    • Ai no Hōseki (愛の宝石?), Shōgakukan, 2012
    • Ōhi Margot (王妃マルゴ?), Shūeisha, 2013-
    • Away, Shōgakukan, 2014-2015

     

     

     

     éditions de ses mangas en France 

    • Le Cœur de Thomas, 2012  chez Kaze 
    • Moto Hagio, Anthologie, 2013  (comprenant, en deux volumes, A Drunken dream, les deux parties de Ils sont 11 !La Forêt blancheLa fille de l’iguaneDemi dieuNovember gymnasiumPauvre mamanEgg stand) chez Glénat 

    article https://www.du9.org/dossier/hagio-moto-une-artiste-au-coeur-du-manga-moderne/


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  • Riyoko Ikeda est née le 18 décembre 1947 à Osaka, au Japon. Ce qu'on sait d'elle, c'est qu'elle a toujours aimé le dessin, au point d'interrompre ses études de littérature et de philosophie, à l'université de Tokyo Kyoiku.  Elle a fait partie du Groupe de l'an 24. Elle est maintenant chanteuse professionnelle.

    Riyoko Ikeda

    Riyoko Ikeda montre sa décoration de chevalier de la Légion d’honneur, pendant la conférence de presse.

    En 1967, elle fait ses débuts de mangaka avec «Bara Yashiki no Shôjo » ("La Jeune Fille de la Demeure des Roses"). Cinq ans plus tard, "Versailles no Bara" ("La Rose de Versailles"/ "Lady Oscar"- dans la v.f.:) est publié dans "Shûkan Margaret", hebdomadaire de mangas pour jeunes filles. "Versailles no Bara" connaît alors un énorme succès, et il est vite proposé sous diverses formes: dessin animé, opérette, film cinématographique...

    Après avoir choisi la Révolution française comme toile de fond de son récit, Riyoko Ikeda s'intéresse à la Révolution russe, et commence un nouveau manga: la publication d'"Orpheus no Mado" ("La Fenêtre d'Orphée") débute en 1981. C'est un manga qui vaudra à l'auteur d'être lauréate du 9e Prix d'Excellence de l'Association japonaise des Auteurs de Mangas.

    A partir de 1982, la créatrice de "Lady Oscar" élargit son champ d'action. Elle commence à écrire des articles de fond pour des magazines "grand public", comme l'"Asahi Journal": on peut y lire l'opinion de l'auteur sur la condition des femmes, ou encore son point de vue sur des faits historiques marquants.

    En 1999, elle décroche un nouveau diplôme en sortant de la prestigieuse Université de Musique de Tokyo. Depuis, elle parcourt le Japon, accompagnée du pianiste Hiroshi, et elle remplit les salles de concert.

    Aujourd'hui, il reste peu de domaines auxquels elle n'a pas encore touché. Elle est mangaka, écrivain, essayiste, traductrice, comédienne et chanteuse...

    Une femme pour le moins polyvalente !
    (source kana)
     
     

     la Censure

    Invitée l’an dernier en Italie, Riyoko Ikeda a découvert que l’on a censuré le passage du mariage entre Lady Oscar et son amoureux André, se souvenant aussi que les scènes intimes ont été victime de réticences lors de leur publication au Japon. « Mais c”est indispensable ». Si l’on supprime cela, on vide l”œuvre de sa substance. A la fin de la rencontre, elle réagit à la menace récente qui pèse sur le manga suite à une proposition du gouvernement métropolitain de Tokyo de censurer la représentation du sexe dans le manga. Par principe, Ikeda se positionne clairement contre tout ce qui porte atteinte à la liberté d”expression et lance en guise de mot de la fin : « Quand un mangaka ne peut pas s”exprimer, il lui faut se battre. Peut-être qu”un jour Lady Oscar sera interdit. Mais si c’est le cas, j’en serai honorée ! »

     source manga-arte blog 
     
     Gothic & lolita bible dont elle illustre plusieurs couvertures.

    Riyoko Ikeda

    Riyoko Ikeda

    Bibliographie source wikipédia 

    • 1967 : Bara Yashiki no Shôjo
    • 1972 : La Rose de Versailles - 10 vols (Lady Oscar)
    • 1974 : Shoko No Etude - 1 vol
    • 1974 : Claudine - 1 vol
    • 1975 : Oniisama e - 3 vols
    • 1976 : Orpheus no Mado - 18 vols (La fenêtre d'Orphée)
    • 1982 : Jotei Caterina - 5 vols (L'impératrice Catherine)
    • 1985 : Versailles no Bara Gaiden - 2 vols
    • 1986 : Eroica - 11 vols (La gloire de Napoléon)
     version anglaise 

    Riyoko Ikeda   Riyoko Ikeda   

     

     


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