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The haunting : chapitre 3
Chapitre 3
Après avoir expliqué le but de leur venue : dans le but de comprendre le mécanisme complexe , dans une situation précise d’un groupe d'individus confronté à vivre isolé dans une maison dite hantée quel sera leur réaction en cas de stress . Vue l' heure tardive après avoir manger le repas du soir , ils se quittent dans le couloir qui les mener à leur chambre Terry dit
- le fantôme qui viendra cette nuit ne rendre visite sera t’il mâle ou femelle
- oh, Terry ne dit-pas cela lui répondit Suzanna et pensa « tu m’appartiens me l’oublie surtout pas »tout lui lançant son fameux regard de mécontentement, Robert pris la parole
- tu toujours aussi taquin, je pense qui c’est un fantôme femelle, elle sera agréablement surprise
Terry était plutôt bel homme son charme et sa démarche d’aristocrate anglais l’aidait beaucoup . Robert s’était demander comment Suzanna et lui s’était mystérieuse fiancé lui qui en public ne montrai guère son attachement pour la jeune femme, mais il pensait que ça devais venir de son éducation anglaise .
Le docteur dit
-je vois que nous avons quelqu'un qui aime faire de l’humour , bonnes nuit mesdames
Terry et Robert étaient déjà partis rejoindre leur chambre le docteur se trouvait seul avec les deux femmes
Suzanna inquiété lui répondit
- on n’a pas fermé à clef la porte d’entrée docteur
-appelle moi John, cela n’a pas d’importance, si cela peut vous rassurer je n'étendrai pas les lumières en bas dit le docteur dans un ton des plus charmant il les quitta
Le docteur John Markway est un homme d’apparence soigneuse élégante, il avait une fine moustache comme Clark Gable. Karen prit la parole
-oh, Suzanna si vous ne sentez pas précipitez-vous dans ma chambre. Puisse- je entrer dans votre chambre ? je voudrais vous parler elle marqua un courte pause et repris Suzanna, vous avez l’intention de changer de coiffure ? je voudrais aussi vous parler. Je sais-ce qui vous conviendra , ainsi que de la nouvelle pièce que souhait monter Robert si cela ne vous déranger pas .
-oui Karen, j’ai envisagé de changer de coiffure, merci mais pas ce soir, je suis exténuer, je tombe de sommeil .
- n’oublier pas Suzanna , nous avons rendez-vous pour le petit déjeuner
Sur cela les deux femmes ce quittent, Suzanna s’allongea encore vêtu de ses vêtement de jour sur le lit moelleux et douillet en fait c’était deux lit d’un personne mis côte à côte, pensant
« je suis malgré tout si chanceuse : tous en baillant au corneille un jour : il m 'aimera moi il l 'oublier cette mocheté , il m 'aimera moi comme je l 'aime , il ne le dois , ah qu'est-ce que je suis fatigué »
Mais avant de se coucher Suzanna eu un pensée pour son défunt père il était mort dans d’atroce souffrance, la nuit elle l’entendait gémir de douleurs .
La nuit on l'entendait taper au mur il l’appelle en tirant sur une corde ou était relier une clochette. Son accident de travail survenu sur le chantier dans les docks l’avait handicapé, il souffrait aussi d'une forte fièvre difficilement soignable
Suzana se vêtis pour la nuit et coucha. Mais un silence pensant régner dans la demeure . On sentait seulement le carillon de l’horloge du couloir . Il devait être au allant tour de nuit quand Suzana essaya en vain de trouver le sommeil . Mais dans l’imposant silence d’étrange bruit firent leur apparition, strident résonnant percutant elle essaya de trouver l’origine du dit vacarme mais était dans l’incapacitante de dire l’origine soudain elle hurla recroqueviller dans son lit
- arrêtez, mais arrêtez, je demande de cesser ce vacarme
Elle regarda autour d'elle mais ne fit rien elle étendit la voix de son amie l 'appelle
-Suzana, vous allez bien, venez ?
Suzana sortit, enfila son peignoir remis sa prothèse et alla dans la chambre de son amie Karen , entra dans salle de bain commune . Elle avait pris ses béquilles au cas où, elle arriva dans la chambre de Karen
- Karen, tu les étends les bruits ?
Karen la regarda terrifier, les bruits qui s’étaient apparemment calme reprirent en intensité,
-mais arrêter, Suzana à cote de Karen assise sur son lit essaya de trouves l’origine des bruits ses yeux scrutèrent la pièce à leur recherche elle reprit, Karen vous étés frigorifie
Sur ses mots elle mit sur Karen un châle en laine, pour une fois Suzanna semblait prendre soin d’une autre personne qu'a l’habitude, Suzanna prit Karen dans ses bras essayant de la rassuré
- sais-tu d 'ou vienne les bruits ? demande Karen inquiété
-non je ne sais pas ?
Les bruits d'un coup cesseraient on pouvait seulement entendre le carillon de l’horloge du couloir, laissant pratiquement la maisonnée dans un calme relativement olympien
-tu crois que va recommencer cette nuit ? Suzana !
Elles se mirent donc à pousser des cris d'effroi
Sur ça le docteur suivit de Terry et de Robert entrèrent dans la chambre ou s’étaient réfugiée les deux femmes il leur demanda
-allez -vous nien ? nous étions dehors a la recherche dans la cabane du jardinier d’un tournevis . on a étendu là l’aboiement d’un chien , ceux qui nous a retardés, ont essayé de savoir où il avait fuit . Il semblerait que la maison cherche à nous séparer
-docteur questionna Suzanna avait étendu les bruits ?
-non, on était dehors, vous l’air pas bien Suzanna vous devez aller impérativement vous reposer . Cette nuit il ne sera pas prudent de vous laisser et pour la durée de votre séjour, je n’aime pas vos sentir seule-il marqua une pause
Suzanna était ravi de la proposition du docteur pensant en profiter pour pouvoir passer un nuit et même plus avec son Terry, sans chaperon lui qui ne s’était jamais décider à faire d’elle une femme respectable, le docteur reprit la parole
-je pense qu’ 'il sera préférable que Karen dorment dans votre chambre pour le restant du séjour . Moi, Robert et Terry à tour de rôle on montera la garde, dormaient mesdames sur ces mots .
Le docteur partis, Suzanna essaya en vain de protester qu 'elle aurait préféré la compagnie de son Terry, mais il déjà repartit.
Karen partis donc s’installer dans la chambre de Suzanna, elle n’avait pas l’air aussi malheureuse de la situation, elle au moins sa compagnie ne la dérangeait pas, ne supportant pas de reste seule la nuit dans sa chambre après avoir entendu ses bruits
- Je sais Suzana, je ne suis pas celui que t'aurai voulu comme partenaire de chambre.
Suzana comme à son habitude boudée de son coin.
- ce n’est pas la peine de ne bouder Suzanna. Je ne suis pas responsable, moi au moins jamais Je n'ai provoqué d’incident grave ni voler de fiancé ni coupé du sais quoi !et nous au moins je serais bientôt une femme honnête pas comme toi . Dort ben ma belle : Karen s’adressait à Suzanna sur un ton des plus autoritaire cette fois
Suzanna toujours d'humeur chafouine
- répété je que tu viens me dire Karen .
- tu sais très bien je que j’ai dit ?
- je suis fatiguée, si nous dormons, à demain Karen
-à demain Suzana bonne nuit répondit Karen avec une voix un peu trop mielleuse
Les deux femmes s’endormirent rapidement après ces étranges phénomènes
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