• chapitre 18 : en Ecosse

    Chapitre 18 : en Ecosse

     

     

    Sœur Maria et Mlle Pony s'inquiétaient beaucoup, elles craignaient de tomber sur des hommes de main des Legrand pendant le trajet jusqu'à l'embarcadère qui se passa sans soucis. Mlle Pony demanda,

     

    -Monsieur prenez bien soin de mon petit Tom, je vous remets sa vie entre vos mains.

     

    -Je ferai de mon mieux. Beaucoup de marins ont péri en faisait ce trajet.

     

    -Je sais qu'il est réputé dangereux.

     

    Et Sœur Maria dit,

     

    -Tom, tu as bien compris mes instructions? Quand tu seras sur l’île, il nous sera interdit de communiquer. La survie du royaume est entre tes mains et pour te tenir compagnie Tom, je t'envoie Capucin, n’oublie pas de garder précieusement ce grimoire entre tes mains, il contient des données importantes et pourraient tomber entre de mauvaises mains.

     

    Mlle Pony se tourna vers le capitaine,

     

    -Capitaine Nirvens, je compte sur vous.

     

    -Je ferai de mon mieux la dernière fois que j'ai effectué ce trajet, dans mon équipage travaillait le jeune Vincent Brown il est mort sans avoir connu son fils, depuis ce jour je m'en veux terriblement de cette perte qui a...

     

    -Taisez-vous monsieur Nirvens ce n'est pas de votre faute! Des forces obscures en sont responsables et les dangers c'est que votre culpabilité vous détruise. Pensez à votre fille qui a besoin de vous!

     

    -Mais la reine Sarah est ignoble!

     

    -Ne pensez pas à elle, il y a beaucoup plus dangereux, ce n’est qu'un pantin au service d'une âme...

     

    -Mlle Pony taisez-vous immédiatement! Seigneur, Marie, Joseph ne dites pas son nom c'est trop dangereux!

     

    -Je le sais mais je ne puis m'empêcher de penser que cette personne est une pauvre âme qui souffre tant, partez vite la mer est calme on s'occupera que l'esprit soit occupé pendant votre voyage.

     

    C’est ainsi que Tom partit faire un long voyage qui devrait l'emmener en sécurité sur l'île de bonne espérance.

     

    Sœur Maria avait expliqué à Tom la marche à suivre pour sa survie dans l’île et comment il pouvait entrer en communication avec Candy.

     

     

    Candy arriva en Ecosse accompagnée de Terry qui tomba nez à nez avec Marc, le fils de la bonne qui essayait de tondre un mouton récalcitrant.

    Terry déposa sa valise à terre et prit d'une main la tondeuse et s'exclama,

     

    -Vas-tu rester tranquille Eléonore!

     

    Les mots de Terry bondirent dans l’esprit de Candy. Pourquoi déteste-t-il autant sa mère alors qu'il passe son temps à penser à elle, il souffre plus et l'aime davantage qu'il veut l'admettre, pensa-t-elle.

     

     

     

     

    Eléonore était perturbée ce matin car elle avait aperçu devant le théâtre la limousine de Richard. Elle était angoissée à l'idée qu'il débarque à nouveau dans sa vie et exige de faire un test de paternité pour sa fille, elle avait aussi un doute sur l'identité de son père mais malgré tout Georges avait voulu reconnaître l'enfant en lui donnant son nom.

     

     

     

     

     

    Millicent, seule dans sa chambre, reçut la visite surprise de son époux qui était visiblement en colère contre elle, mais avant de trouver le courage de la confronter il avait passé des heures à admirer Eléonore sur l'affiche. Il se demandait qu'elle aurait été sa vie s'il avait vécu avec elle, elle aurait dû renoncer à sa carrière. Son travail d'actrice était son oxygène, il pensait qu'elle l'aimait davantage que lui.

     

     

     

     

    Les brutaux changements d'humeur de Terry inquiétaient Candy qui voulut lui parler d'un

    problème,

     

    -Terry ce n’est pas bon pour vous de garder cette colère en vous. Elle finira par vous détruire.

     

    -Qu'est-ce que vous en savez, vous qui avez des parents qui ont su vous aimer et vous protéger?

     

    Candy blêmit.

     

    -Rien, moi je n’ai pas eu votre chance de connaître mes parents, mais ils m'ont suffisamment aimée pour m'avoir laissée devant les portes de l'orphelinat de Mlle Pony et Sœur Maria.

     

    -Je suis désolé, je ne savais pas. J'ai cru en vous voyant toujours aussi souriante que vous aviez eu une vie plus facile que la mienne.

     

    -Non, j'ai dû travailler très jeune mais cela ne m'a pas tuée.

     

    Et sur un ton plus neutre et lointain Terry dit,

     

    -Vous pouvez vous installer dans la chambre d'amis. J'ai prévenu la mère de Marc de votre arrivée. J'ai des affaires à régler.

     

    Il alluma une cigarette et Candy la lui enleva de la bouche,

     

    -C'est très mauvais pour vous!

     

    -Pourquoi vous vous prenez pour ma mère?

     

    -Oh que non! Vous êtes trop insolent pour eux, jouez plutôt de l'harmonica.

     

    -Vous désirez que je goûte à vos lèvres?

     

    -Mais espèce de goujat, je suis une femme bientôt mariée!

     

    -Bientôt, ce n’est pas mariée!

     

    -Mais c'est mon instrument favori, c'est un rare présent que j'ai acheté avec mon maigre salaire de bonne chez les Legrand.

     

    Terry trouva une excuse pour s'éloigner de Candy; il se sentait responsable. Pourquoi ne pouvait-t-il pas s'empêcher de lui envoyer des piques?

     

     

     

    Richard énervé essayait de discréditer sa duchesse de femme Millicent, la duchesse blêmit quand elle vit son mari entrer dans sa suite.

     

    -Richard! Que faites-vous ici? Avez-vous fini votre parti de Waterpolo et les tours des maisons de passe de la ville?

     

    -Comment ça? Pour quel homme vous me prenez-vous?

     

    -Ne faites pas semblant de jouer les vierges effarouchées! Je suis au courant de votre visite dans ces lieux peu fréquentables, vous qui essayez tant de vous faire passer pour ce que vous n’êtes pas, ne vous inquiétez pas, cela ne me peine point.

     

    -Ça c'est le cadet de mes soucis de vous savoir peiné.

     

    La duchesse offusquée, lui dit ensuite,

     

    -Vous avez appris que la mère de votre bâtard, vous savez votre fils Terry, elle va bientôt se marier, elle a mis le temps et d'après les rumeurs que j'ai entendu, elle aurait eu un enfant de lui, elle a l'habitude d'avoir des enfants hors mariage, mais je suis surprise qu'elle a réussi à lui passer la corde au cou. Une telle traînée sa place est ailleurs, ne trouvez-vous pas que c'est sa place?

     

    -Millicent taisez-vous immédiatement vous êtes sans cœur!

     

    -C'est vivre avec vous qui m’a rendue sans cœur!

     

    La duchesse déposa sous le nez du duc des documents importants qui risquaient de l'anéantir.

     

    -Je vous conseille de lire ces documents au plus vite, c'est dans la formule génétique chez les Granchester d'avoir des bâtards.

     

    Richard se demandait ou voulait en venir sa femme.

     

    -J'ai failli oublier de vous informer que c'est le meilleur détective privé qui a trouvé ces documents et qu'ils sont véridiques, c’est la pure est simple vérité.

     

     

     

     

    Candy faisait une sieste et prit peur en entendant les hennissements du cheval de Terry au galop, le jeune homme pour se calmer les nerfs avait décidé de faire une balade à cheval et Candy se leva et cria,

     

    -Mon Albert faites attention au carrosse qui fonce sur vous, ne me quittez pas...

     

    Terry arrêta nette sa course et vit Candy évanouie dans l'herbe. Terry la trouvait si belle qu'il la prit dans ses bras et entendit murmurer Candy,

     

    -Albert je vous aime tant, ne me quittez pas mon amour, je vous aime.

     

    Terry la déposa dans sa chambre. Son humeur était devenue triste. Il alla fumer une cigarette pour se calmer les nerfs, mais découvrit dans sa poche l'harmonica de Candy. Il joua une chanson écossaise, Ce n'est qu'un au revoir.

     

     

     

     

    Flanny était restée chez elle, son fils avait eu un brutal accès de fièvre et elle dut retarder son séjour en Ecosse. Il était déçu mais Eléonore lui avait proposé de l'emmener avec elle mais la joie de retrouver Sarah le comblait de joie.

     

    Albert essayait de comprendre pourquoi tant de tristesse dans son regard elle devrait être heureuse elle était amoureuse, elle avait l'air d'avoir tout ce qu'elle désirait posséder... Qu'est-ce qu'il pourrait tant lui manquer?

     

     

     

     

     

    John Doe continua son travail et avait pris beaucoup d'assurance malgré le fait que sa mémoire ne lui était pas revenue à part quelques bribes de souvenirs : le visage d'une femme blonde et un prénom, Rosemarie...

     

     

     

     

    Candy se réveilla et entendit le morceau que Terry jouait. Une bonne, Maria, lui déconseilla de rendre visite à Terry, les rideaux de sa chambre étant fermés, ce qui signifiait qu'il ne voulait voir personne.

     

    Candy essaya d'appeler Terry mais le jeune homme ne répondit pas.

     

    terry pensa

     

    "Désolé Taches de son, il est préférable que je ne vous voie pas en ce moment car je suis capable du pire. "

     

    Terry dont l'humeur était au plus bas déprimait dans la pénombre de sa chambre.

     

    Candy en profita pour faire une ballade à pied avec Marc et sa mère et pour cuisiner la mère de Marc sur le comportement troublant de Terry.

     

    -Ne vous inquiétez pas il aboie beaucoup et il ne mord pas. C'est juste une carapace pour se protéger, finit par dire Marc à la fin de la ballade.

     

     

     

     

    Sarah Legrand à Lakewood se sentait indisposée. Elle souffrait de terribles maux de tête et parfois saignait du nez; l'utilisation de la magie noire l'épuisait beaucoup, les domestiques du château craignaient ses brutaux changements d'humeur, son comportement commençait à inquiéter son mari.

     

    -Si elle ne se ressaisit pas vite, on risquerait bien de découvrir les pouvoirs qu’elle avait, la magie qu'elle utilise semblait la consumer à petit feu, pensa-t-il.

     

     

     

     

    Monsieur MacGregor, chef de file du mouvement pour rétablir l'harmonie et aussi par la même occasion, reprendre le trône aux Ardlay, se chamaillait toujours avec la grande tante qui n'était pas prête à lui pardonner leur ancienne querelle.

     

     

     

     

    Toujours dans la suite de son épouse, Richard surpris de recevoir des documents privés de la part de son épouse se demandait s'il était juste de les ouvrir mais la duchesse pressée de rentrer à Londres lui demanda de quitter sa chambre et de ne rien dire pour lui nuire si elle utilisait contre lui les documents.

     

    Richard repartit dans sa suite commander une bouteille de Bourbon et commença la lecture qui le mit hors de lui. Comment avait-on pu lui mentir à ce point? Il finit la bouteille pour oublier le désespoir de sa découverte. Il pensa à son fils et espérait que lui ait plus de chance dans sa vie future.

     

    Il partit sur un coup de tête, prendre l'air. Il était dans un état d'ivresse avancé.

     

     

     

    Eléonore faisait les boutiques à la recherche de nouvelles tenues estivales pour son voyage en Écosse. Sa fille Sarah était restée avec Georges son futur époux.

     

     

     

     

    Terry sortit et fut jaloux de découvrir Candy et Marc. Il crut qu'elle flirtait avec lui, elle rayonnait de beauté. Le soleil sur ses cheveux ressortait les nuances de blond dans ses cheveux.

     

    Elle parlait toujours avec lui et sa mère.

     

    -Il est insupportable avec moi!

     

    La mère de Marc répondit,

     

    -Ma petite, c'est qu'il tient beaucoup à vous.

     

    -Mais cela n'a pas de sens!

     

    -Croyez-moi.

     

    Candy fut intriguée par la roseraie.

     

    -Marc, vous avez de magnifiques roses.

     

    La mère de Marc dit avant de partir à la cuisine préparer le repas du soir,

     

    -C'est grâce au nouveau jardinier que le duc de Granchester a engagé pour le domaine, il a fait un travail sublime, il ne poussait rien jadis.

     

    C’est à ce moment-là que Terry les rejoignit,

     

    -Candy, j'espère que Marc ne vous opportune pas trop, dit-il tout en faisant signe à Marc de partir voir ailleurs. Il voulait être seul avec Candy, mais Marc ne comprit pas le geste ou faisait semblant. Lui aussi était sous le charme et en amour comme à la guerre tous les coups sont permis.

     

    Marc en le regardant droit dans les yeux lui signifiait qu'il n'allait pas céder et partir.

     

    -Candy trouvait les roses du domaine magnifique.

     

    -Oui, Marc, c'est comme à Lakewood. Albert et moi on aime beaucoup se promener dans les allées. Les roses sont différentes, son neveu avait créé une variété de roses rien que pour moi!

     

    Terry éclata de rire.

     

    Candy offusquée, dit,

     

    -Je voudrais savoir ce qu'il y a de si drôle?

     

    Terry s'approcha et lui prit le menton pour qu'elle le regarde dans les yeux,

     

    -Ce jeune homme devait être amoureux de vous pour vous créer une variété de roses à votre nom.

     

    -Vous dites n'importe quoi! Anthony est le neveu du roi!

     

    -Rien ne lui empêche de vous aimer en secret...

     

    -Vous êtes un abruti pas fini, en plus le roi avait deux autres neveux, les frères Cornwell, et eux aussi m'ont fabriqué des cadeaux. Alistair une poupée à mon effigie et une boîte à musique et Archibald ma robe de mariée et vous allez me dire que les frères Cornwell m'aiment aussi? Ce que je ne dois pas entendre comme imbécilités!

     

    -Mais, Taches de son, vous n'y connaissez pas grand chose aux hommes, ils sont eux aussi tombés sous le charme de cette petite sorcière intrigante.

     

    -Mais de quoi m'avez-vous traitée? De sorcière? Je ne suis pas aussi vieille que celles qu'on voit dans les livres!

     

    -Mais Taches de son, les sorcières avant était représentées par de jolies jeunes femmes, un peu comme vous mais  un chouia plus distingué.

     

    -Mais arrêtez de rire de moi!

     

    Terry demanda tout en s'approchant de Candy pour lui susurrer à l'oreille,

     

    -Et cet Archibald vous a-t-il cousu vos sous-vêtements pour votre nuit de noces? Je l'imagine bien fantasmer sur les courbes de votre corps!

     

    Et Candy offusquée, s'écria,

     

    -Mais de quoi je me mêle! Archi est un gentleman! Il ne pense pas à ce genre d'horreurs!

     

    -Qu'est-ce qu'il y a d'horrible à vous trouver désirable?

     

    -Avec Albert on a une relation plus mature, stable. Il ne m'aime pas que pour mon corps!

     

    Terry se demanda, quand est-ce qu'elle arrêtera de me parler de cet homme?

     

    -S'il vous aimait autant pourquoi n'est-il pas ici en ce moment avec vous?

     

    -Vous êtes un monstre! Arrêtez de me persécuter ainsi! J'aime Albert!

     

     

     

     

     

    Richard, ivre, percuta Eléonore. Il débitait des phrases incompréhensibles pour elle mais disait que toutes les femmes étaient des menteuses sans vergogne; lui n'était pas blanc comme neige.

     

    Eléonore lui criait de la laisser, lui qui se cramponnait à son bras.

     

    Un agent de police voyant le spectacle embarqua Richard en cellule de dégrisement.

     

    Pour la première fois de sa vie, Richard était derrière les barreaux d'une prison; l’agent avait refusé qu'on le raccompagne chez lui, duc ou pas, c'était un délit d'être ivre sur l’espace public.

     

     

     

    Candy en pleurs partit en courant trouver refuge loin de Terry. Elle se réfugia dans la roseraie et rencontra Marc, elle pleurait sur son épaule. Lui était ravi de pouvoir consoler Candy.

     

    -Je le déteste!

     

    La mère de Marc le rappela à l'ordre,

     

    -Marc, pourrais-tu m'aider?

     

    -Candy ne se sent pas bien, j'aimerais lui tenir compagnie.

     

    -Marc, j'ai besoin de toi en cuisine.

     

    -Désolé, Candy, ma mère a besoin de moi en cuisine.

     

    Et Candy répondit,

     

    -J'espère qu'elle a cuisiné une tarte aux pommes pour le dessert.

     

    -Pourquoi donc, Candy?

     

    -C'est mon dessert favori.

     

    -J'irai voir, Candy.

     

    -Merci Marc d'être si bon avec moi.

     

    Marc rougit. Il partit vite pour que Candy ne remarque pas son trouble.

     

     

     

    Archibald devait aujourd’hui avec son frère interviewer le PDG de la de Villiers Corporation.

    Son frère l'inventeur passait son temps avec Patty à améliorer ses inventions. Patty l'aidait beaucoup dans ce domaine et cette fois ses inventions ne casseraient plus.

     

    Archibald avec l'aide d’Annie créait des vêtements. Il avait conçu un textile révolutionnaire qui neutralisait les mauvaises odeurs.

     

     

    La mère de Marc demanda à son fils,

     

    -Pourquoi flirtes-tu avec l'amie de Terry?

     

    -Mais, mère, ce n’est pas sa femme, il va se marier avec Flanny et ce n’est pas noble de sa part de flirter avec une autre femme!

     

    -Cela ne te regarde pas. Je n’ai pas envie de perdre ma place chez les Granchester.

     

    -Pour qui ils se prennent ces nobles? Ils sont pires que tout, mère! Candy est déprimée et je voulais juste la consoler, ce n’est pas de ma faute si moi aussi je l'aime!

     

    -Mais reste à ta place, le père de Terry est influent.

     

    La mère de Marc finit de cuire la tarte aux pommes et s'empressa d'aller consoler Candy.

     

     

    Archibald et Alistair furent surpris de découvrir la grandeur des locaux de la de Villiers Corporation. C'était immense! Le hall d'entrée était aussi grand que la salle du trône du palais de Lakewood.

     

     

     

    Eléonore s’inquiétait beaucoup. Est-ce que Richard pouvait avoir des doutes sur la paternité de sa fille Sarah? Elle devait fuir au plus vite la ville. Elle appela d'urgence son fiancé Georges pour avancer la date de leur voyage en Ecosse dans leur demeure qu'il avait achetée pour elle. En pensant aussi à son grand amour perdu, il avait mis une roseraie de roses blanches, ses favorites.

     

     

     

     

    -Candy pleurez si ça vous soulage. Terry tient à vous, il n'a jamais emmené ici aucune de ses maîtresses.

     

    -Comment ça? Je ne suis pas la maîtresse de Terry. Il va m'aider à retrouvé mon futur époux, l'homme que j'aime plus que tout au monde, Albert William Ardley.

     

    Candy montra l'écusson à son effigie et la mère de Marc remarqua la ressemblance avec le nouveau jardinier.

     

    -Cet homme me dit quelque chose. Il ressemble beaucoup au nouveau jardinier que nous avons au domaine.

     

    -Albert est ici?

     

    -Non, il ne s'appelle pas Albert mais Arthur je pense.

     

    Candy fut déçue, ça devait être un sosie.

     

     

     

     

     

    La secrétaire fit entrer les frères Cornwell dans le bureau du PDG et Archibald fut surpris de découvrir assis sur les bureaux un homme qu'il pensait mort.

     

    -Non, Alistair ça ne peut pas être vrai! Il est mort!

     

    -C'est ce que je devais t'annoncer!

     

    -Quoi donc?

     

    -Que j'ai cru voir le père d’Anthony, monsieur Vincent Brown...

     

    Et l'homme installé dans les bureaux s'évanouit.

     

     

     

     

     


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