• Chapitre 4

     

     Quelques mois plus tard, le 7 mai le jour tant attendu de la fête d'adoption de Candy arriva. Comme à son habitude le grand oncle William ne si montra pas, laissant la tache à la grande tante de faire à la famille la présentation de Candy. Une chasse à cour était aussi organisée en vue de l'événement le matin même. On trouvait Alistair qui venait de finir la maquette d'une fusée spatiale, il était toujours plongé dans ses recherches pour sa voiture 100 % écolo fonctionnant à l'énergie solaire et une nouvelle invention qui allait révolution la vie des femmes un fusil à maquillage. Ce fusil permettait si on vise son visage de se maquiller en 30 seconds chronos donc une économie de temps pour Alistair qui voulait essayer son invention sur quelqu'un et par chance il tomba sur Candy.

     

    - Veux-tu essayer ma nouvelle invention le fusil maquillant ?

    - Non merci Alistair, c'est un plaisir pour moi de te servir de cobaye, mais pas maintenant. Demain, essaya de répondre Candy apeurée devant cette drôle d'invention.

    - S’il te plait Candy !

    - Tu es sur de toi ?

     

    C'est là qu'arriva Eliza, toujours aussi sournoise. Alistair arma son fusil et visa Candy. Ce fut par surprise qu’Eliza prit tout en pleine figure.

     

    - Tu vas me le payer la fille d'écurie ! T'es contente de toi maintenant ! Je dois me changer maintenant !

     

    Eliza n'était pas à son avantage. Alistair avait encore une fois rate son invention, le maquillage était mal repartis lui donnant l'air d'une vieille rombière.

     

    - Je crois Ali, malgré toutes tes qualités, que cette invention aura du succès.

     

    De loin la grande tante regarda la scène ne comprenant en rien les inventions de son neveu.

    Anthony a offert le matin même son cadeau à Candy pour sa fête d'adoption, impatient de le lui donner la rose qu’il voulait lui offrir pour son anniversaire.

     

    - Tu vois cette rose je l’ai appelle Tendre Candy  en ton honneur et je t’offre aussi ces boucles d’oreille qui ont la même couleur que tes yeux.

     

    Les  boucles d'oreilles sont des émeraudes qui lui rappellent la couleur des yeux de Candy, elles sont toutes simples.

     

    - Oh, merci Anthony  c'est trop, je ne sais quoi dire. elle rougissait devant ces présents.

    - Maintenant on va aller te présenter Candy

    - J'ai peur…

    - De quoi ? Ils vont t’adorer ! Sois toi-même c’est tout.

     

    Et là les deux frères Cornwell les rejoignirent.

     

    - Candy tu vas être splendide comme à ton habitude, lui charma Archi.

    - La grande tante a fait pour l'occasion ce costume pour toi, un kilt au couleur de la famille.

    - Ah, merci  Alistair, Archi et Anthony ! dit elle avant de partit se changer.

     

    Maintenant revêtus de leurs costumes traditionnels de la famille André, les trois cousins, habillés en kilt en hommage à leur origine écossaise jouaient en honneur de Candy de la cornemuse. La tante arriva est installa la jeune fille au centre. Elle se présenta sous les yeux incrédules de la tante ne sachant quoi dire. Par sa spontanéité et son charme, elle charma toute la foule et fut donc bien accueilli par sa famille adoptive. Candy voulut parler du jeune garçon qu'elle vaut vue sur la colline de Pony étant enfant, mais n’osa pas. Depuis qu'elle savait que ce n’était pas Anthony, ce dernier était un peu jaloux de savoir que peut-être elle l’avait aimée pour sa ressemblance avec ce garçon. Mais Candy l'avait rassurée lui disait qu'elle l’aime aussi pour lui, que malgré sa ressemblance s’il n'avait été aussi gentil et délicat avec elle, jamais au grand jamais elle ne l'aurait aimé s’il avait été plus comme Neil et malgré sa ressemblance avec le prince, jamais elle aurait put l'aimer comme elle l’aime lui d’un amour tendre.

     

    Ils avaient vu au loin les Legrand et ils essayèrent de les évites, ils prirent donc un raccourci.

    Anthony était un cavalier hors paire. C'était  le  jour où elle avait reçut la dernière lettre de sa sœur de cœur Annie, elle l’avait rencontré alors qu'elle pleurait la disparition de son amie. Il lui avait alors dis «  tu es bien plus jolie quand tu ris que quand tu pleures ». Il avait perdu son médaillon, armoiries familiale des André, un A en or. C'est en voulant lui révéler l'existence de mystérieux garçon qui lui ressemblait tant.  Mais avant l'accident il lui dit :

     

    - Tu sais Candy, maman s'occupait aussi d'un petit garçon, qui d'après ce que l’on m'a dit me ressemblait effectivement, mais il n'eut le temps de finir sa phrase.

     

    Anthony n'avait pas vu arriver le renard  lui passer devant ce qui eut pour effet de cabre son cheval. Il tomba alors tragiquement de l’animal, le laissant quasiment pour mort sur le sol. Les secours  arrivèrent vite à son chevet. Anthony  hélas se trouvait dans un état critique, il tomba dans un profond coma dont on ne sait si un jour il s’en réveillera.

     

    Après l'accident, le grand oncle William décida d’inscrire ses neveux à l’académie de Saint-Paul en Angleterre, une prestigieuse école. Le pensionnat paraissait la meilleure solution. La grande tante étant dans l’incapacité émotionnelle de s’en occuper, ils furent donc envoyer en pension avec hélas les Legrand qui étaient aussi de l'aventure. C'est ainsi qu'Alistair se fit la promesse de trouve un remède pour guérir son cher Anthony. Depuis qu'il est dans le coma, la demeure de Lakewood semble plonger dans la tristesse.

     

    C'est un matin que fut appelée la vielle tante Elroy alors que les restes de ses neveux étudiaient à Saint-Paul. Les médecins d’Anthony voulait convenir des soins à lui apporter étant donner qu'elle est sa tutrice en l'absence de son père repartit naviguer. Ce matin, ils avaient évoqué l'état de santé d'Anthony. Elle eut alors après une conversation téléphonique avec William Albert qui avait fuit la grande tante pour vivre ses rêves.

     

    - Ma tante cessez de vous obstinez, Anthony ne reviendra pas ! Il faut le laisser partir.

    - Je suis pour l’instant le chef de la famille c'est moi qui prend les décisions, toi qui n'as pas voulu prendre ta place a sein de ta famille. Et puis c'est de ta faute ! Si n'avait pas emmené cette file dans ma maison jamais cela ne sera passé tu m'étends  William ! Je  t'ordonne de revenir maintenant et tu me demandes tout simplement de tué mon très cher Anthony ! Je te rappelle si tu l’as oublié, c'est le fils de ta défunte sœur qui t'a élevé toi comme son propre fils. Au moins, en sa mémoire, tu pourrais me soutenir dans cette décision.

    - Non ma tante, ma décision est ferme je ne reviendrai pas maintenant et vous savez pourquoi j'ai du adopte cette jeune fille. Comment avez-vous pu laisser se passer comme cela ? Et ne faites pas votre chantage, je n'ai pas oublié la mémoire de ma sœur. C'est pour elle que je me suis battu pour qu'Anthony reçoive les meilleurs soins, mais hélas rien ne sembler le ramener en vie. Qui dit que s’il se réveille, il n'aura pas de séquelle ? Je l'espère de tout mon cœur.

    - William, Anthony est vivant et tu me demandes de le tuer à nouveau ? Et puis ta charmante fille c'est une voleuse !

     

    Il lui raccrocha au nez préférant couper court à la conversation de la grande tante qui devenait injuste dès qu'il s'agissait de Candy. Albert se décida de rentre en Amérique laissant sa protégé au bon soin de Terry.

     

    C'est Angleterre qu'Alistair connut après Candy sa première histoire d'amour  réciproque cette fois-ci. Elle s'appelle Patricia O'brien, jeune fille châtain une peu ronde avec elle aussi des lunettes.

    Il avait petit à petit appris à la connaître et grâce à lui, Patricia prenait davantage confiance en elle.

    Archibald lui, avait commencé à sortir avec Annie Brighton, regrettant de l'avoir mal juger depuis que la jeune fille timide est devenue plus sûre d'elle depuis qu'elle n'ait plus à mentir sur ses origines. On avait découvert qu’elle aussi venait de la maison Pony. Ils partageaient les mêmes centres d’intérêts et surtout les mêmes questions vêtements. Il aime faire les boutiques avec Annie, elle est d’une patiente d'ange devant les éternels essayages de fringues d'Archi.

     

    Candy était devenue amie avec le garçon le moins fréquentable de l'école Terrence Grandchester.

    Lui aurait voulu plus qu’une relation amicale mais Candy n’était pas prête pour l'instant à laisser partir Anthony dans son cœur. Albert l'avait un soir secouru, mais hélas en le ramenant à son dortoir il s'était tout simplement tromper de dortoir l’emmenant dans celui des filles et il avait atterri dans la chambre de Candy.

     

    C'est pendant les vacances en Ecosse que leur relation devient plus qu'amical. Alistair avait réparé un avion dans le hangar du père de Terry, ce fut le plus beau jour de ses fameuses vacances que personne n’était prêt d’oublier. Albert était bien sûr au courant du coup de cœur de sa protégée et avait décelé dans ce jeune couple plus qu'une simple amitié. Malgré cela, ça ne l’attristait pas de voir Candy revivre après le tragique accident de son neveu. Il quitta donc l 'Angleterre pour rejoindre les Etats-Unis pour essayer de raisonner la tante sur l’état d’Anthony. Mais comme à leur habitude, les Legrand firent des bêtises. Candy fut surprise dans l'écurie avec Terry à cause d'un complot d'Eliza et de Neil qui fut pris en flagrant délit de vol des copies des prochains sujets d'examen. Lui qui n'avait pas la moyenne dans aucunes matières principales était menacé de renvoie s’il échouait. Tout ce petit monde fut donc réexpédié aux États-Unis. Alistair, Archibald, Candy et les Legrand quittèrent l'Angleterre et Saint-Paul sans avoir obtenu leurs diplômes, ils furent donc inscrits cette fois dans une école de Chicago, les contraignant à se sépare provisoirement de leurs petits-amis respectifs

     

     


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  • Chapitre 3

     

    Monsieur  Lee toujours dans sa boutique, était énerve par la venue des Legrand et avez oublié de dire a son neveu de bien faire attention aux boites bleues avec les dragons. Il savait aujourd’hui qu’il allait en recevoir deux sorte de boite bleue, il avait oublié de lui dire que celle avec deux dragons côte à côte ne devait absolu pas être vendu au grand public. Elle refermait dedans une plante à la vertu très puissante qui mit entre de mauvaise main, pouvait être nuisible. Lui-même ne connaissait pas tous les pouvoirs de cette plante qui poussait dans des conditions difficile au sommet du mont Everest, ce qui la rendait encore plus difficile à trouver.

     

    Pendant ce temps-là à Lakewood, Alistair savant que les Legrand sont intéressés par sa mystérieuse boite, alla la mettre en sécurité en lieu sûr si possible avant qu’ils ne la trouvent, sachant très bien que rien n’arrête ses cousins dans leur entêtement. Il se méfiait plus de la tête pensante du duo, Élisa et savait que rien ne l’empêchera de fouiller dans ses affaires. Il alla rejoindre Anthony et son frère au salon pour la dégustation du thé et d’une tarte aux pommes faite par la tante pour la venue de Candy dans la famille. Il retrouva donc son cousin, son frangin et sa douce Candy, qui selon lui était splendide comme à son habitude simplement vêtue d’une robe de couleur vert bronze qu’Archi aurait deviné de quel grand couturier elle venait. Intimider par sa présence, le jeune homme ne voulais pas lui montrer son embarras, il l’aimait lui aussi tout comme les deux autres. Avant de l’avoir rencontré, il ne se serait jamais, au grand jamais imaginé donner de l’importance à une fille. Il les regarda préférant se concentrer sur ses inventions farfelues. Il arriva donc à table savourant la tarte de la tante.  Archibald  fut le premier à briser le silence.

     

    - Candy tu es splendide ! Je suis sûr que ta robe est une Armani.

     

    - Non Archi, elle est plus modeste.

     

    - Alors, elle est de quelle marque ?

     

    - C'est Annie qui me l’a créé pour moi.

     

    - Quel talent a ton amie ! Tu devrais me la présenter. répondit Archi tout en lui souriant, surpris du rendu de la robe. 

     

    Son frère lui répondit :

     

    - Mais frangin, tu la connais déjà ! C’est la fille des Brighton, celle qui te court après depuis qu’elle t'a vu, elle me semble très éprise.

     

    - Celle là ! dit-il d'un coup moins emballer à l’idée de la connaître.

     

    - Oui, mon frère,  ils n’ont pas d'autre enfant.

     

    - Tu vois Candy, dit Anthony, Archi est gêné dès qu’on lui parle d’Annie, il rougit. Ils se sont  rencontrés à une fête avant ton adoption par la famille et elle me semble très éprise d'Archi. Elle lui a envoyé de Paris une magnifique chemise en soie de son couturier préféré.

     

    - Ah, je ne savais pas ! C'est vrai qu'Annie est une charmante jeune fille, peut-être la pus jolie au monde.

     

    Les garçons pensèrent en même temps : « Non Candy, il n’a pas plus jolie que toi  tu aussi belle que gentille. »

     

    Depuis qu'elle avait été adoptée par les André, la mère d’Annie n'avait plus interdit à sa fille de la fréquenter à la condition de ne pas ébruiter le fait qu’Annie était aussi une enfant trouvée et adoptée. 

    La grande tante sortit de son silence est dit :

     

    - Elle est une fille de bonne famille digne de m’importe quel homme de bonne famille et de vous.

     

    - Où voulez-vous en finir ma tante ? demanda Archi.

     

    Mais il fut interrompu par Anthony

     

    - Ma tante, je vous ai trouvé tout ce que vous cherchiez, j’espère que cela calmera vos douleur.

     

    - Ah, mon cher Anthony, tu es toujours aussi prévenant.  Tu combleras n'importe qu’elle femme digne de ce nom. Je suis sûr que tu feras un parfait époux ! Je te remercie vivement pour ton aide.

     

    La tante partis dans ses appartements, laissant  le groupe d'ado seul au salon. Dans plus d'une semaine sera organisée la fête d'adoption de Candy malgré le faite que la grande tante  s'y soit opposée, elle se devait par principe d'organiser une fête digne de ce nom. Le grand oncle serait probablement absent à la fête, lui que personne n'avait vu le visage. Les rumeurs qui courent, disent que c’est un homme très âgé probablement malade.

     

    Toujours dans sa boutique, Monsieur Lee cherchait désespérément la boite bleue au deux dragons côte à côte. Il trouva celle avec les dragons de chaque côté, mais pas celle qu'il souhaitait,  il demanda alors à son neveu.

     

    - As-tu vu la boite bleue ?

     

    - Oui mon oncle, elle est devant vous.

     

    - Non ,je te parle de l’autre. J'espère que tu ne l'as pas vendue ? Je ne la trouve pas.

     

    - Attend je vais voir.

     

    Quelques secondes après, le neveu apporta la réponse.

     

    - Hélas je crois que l’ai vendu aux occidentaux tous l'heure.

     

    - Je t'avais dit de pas la vendre, surtout à eux ! Ils ne savent pas s'en servir. Pourvu que tu ne l’aies pas vendue à m’importe qui et surtout pas au deux garnements infernaux.

     

    - Je crois que c'est à l’homme à lunette avec le jeune blond.

     

    - Je vois de qui tu parles et j’ai eu peur que tu l’aies vendu aux Legrand.

     

    - Non, mon oncle.

     

    - Heureusement pour nous ! Essaye de la récupérer.

     

    - Oui, mon oncle.

     

    Il partit donc à la recherche de la fameuse boite bleue.

     

     Le soir venu, les ados partirent à la fête foraine qui se situait pas loin en ville. Anthony pour prouver son amour à Candy, voulut gagner pour elle  l’ours en peluche de couleur blanc tenant un cœur dans les mains au tir à la carabine. Il y arriva après persévérance.

     

    - Comme ça Candy, le soir en dormant, tu penseras à moi.

     

    Candy rougissait timidement, jamais de sa vie un garçon n’a été aussi attentionnée avec elle. À l’orphelinat, les garçons le traitèrent comme un des leur. il faut dire que la jeune fille aime beaucoup grimper aux arbres et lancer des lassos, discipline où elle est douée. Les frères Cornwell ne voulant rester  bredouiller, allèrent donc pour Candy lui gagner au moins un cadeau. Archi réussit a lui gagné une peluche de raton laveur qu’elle s’empressa d'appeler capucin et Alistair une mouflette , elle  se mis alors pensée à Monsieur Albert l'homme qui une nuit l'avait sauvé de la noyade alors qu’elle s était enfuie de la demeure des Legrand. Elle lui avait alors parlé des condition de vie chez les Legrand  et du faite qu'ils la fassent dormir à l'écurie. Étrangement, quelque temps après, Candy fut adoptée par le grand oncle William. Elle appela donc sa peluche poupée en hommage à l’animal de compagnie que possédé Albert. Ce n'est pas courent une mouflette en animal de compagnie pour un homme. Le mystérieux Monsieur Albert était aussi le fameux grand oncle William.

     

     Avant d’aller à la fête foraine Alistair avait essayé de fabriquer une voiture fonctionnant à l’énergie solaire et un sac dos parapluie. Mais les amis rencontrèrent Annie Brighton et une amie à elle, ils les invitèrent donc à ce joindre au groupe. Annie essayait de séduire Archibald qui depuis qu'il avait su les talents de couturière de la jeune fille semblait lui prête plus attention. Anthony voyant que leur amis s’amusaient, en profita pour partir s'isoler avec sa belle Candy. Il avait souhaite se faire tirer les cartes par une voyante. 

    La diseuse de bonne aventure avait dit à Candy qu’elle aurait une vie très heureuse, mais bizarrement elle disait rien de l’avenir d’Anthony, on la sentait  tendue par leurs questions et c’est avec un mauvais pressentiment que Candy alla se coucher.

     

    Le neveu de monsieur Lee arriva au domaine de Lakewood mais dut faire demi tour à la vue des Legrand. il essayait d’entrée en contact avec le jeune à lunettes,  mais son oncle l’avait mis en garde sur les esprits démoniaques des Legrand.  Il repartit donc bredouille,  il essayera  une autre fois de récupérer la boite.


     

     


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  • Chapitre 2

     

    Alistair fut intriguer par une boite, mais hélas comme à leur habitude,  les ignobles Legrand firent leur entrée. Ils cherchaient sûrement des filtres d’amour qu’on donne aux personnes pour qu’elles vous aiment en retour.

    Élisa ravie de sa rencontre avec ses cousins car elle secrètement amoureuse d’Anthony.

     

    - Anthony, je si contente de voir ! s’exclama-t-elle tout haut. Le hasard fait bien les choses ! Comme tu sens bon aujourd’hui ! Tu sens meilleur qu’à l’habitude. Je vois que la fille d’écurie n’est pas là c'est pour cela que tu sens si bon.

     

    - Élisa, ça suffit tu vas trop loin ! Elle s’appelle Candy ! Et non, elle n'est avec nous car je suis là pour lui acheter pour son cadeau d’anniversaire et pour son adoption par la famille.

     

    Élisa fulminait à la découverte du but de la venue d’Anthony dans la boutique. Dès le premier regard Élisa avait tout de suite été antipathique avec Candy. Elle devait être à l’origine adoptée par les Legrand afin de tenir compagnie à Eliza car Mr Legrand s’inquiété de voir que sa fille ne se liant pas avec d’autre enfant du même sexe. Eliza préférait largement la compagnie de son cousin préféré et en voulait à son père parce qu’il était allé chercher cette fille dans son orphelinat car Anthony n'aurait jamais connut Candy.

     

    - Qu’est-ce que tu en sais de sa date d’anniversaire ? Ce n'est qu’une vulgaire orpheline sortie de ce miteux orphelinat qu’est la maison Pony. lui répliqua Neil tout droit sorti de l’ombre de sa sœur.

     

    - Tu l’as dit Neil ! la complimenta sa sœur avec son fameux sourire mesquin.

     

    - Eliza, je vois que tu es toujours aussi aimable ! dit  Alistair malgré son mécontentement de voir les Legrand.

     

    - Ah, tu es là toi aussi ?

     

    - Merci Élisa. Je vois que tu es ravi de me voir. La réciproque est la même ma chère cousine. lui répliqua Alistair tous aussi amusé de pouvoir clouer le bec de son infecte cousine.

     

    Élisa se tourna vers Neil

     

    - Attends-moi là Neil, j’ai des choses à chercher au fond de la boutique.

     

    Élisa chercha au fond de la boutique l’élixir tant convoité, mais ne trouvant pas ce qu’elle cherchait, elle alla demande au propriétaire.

     

    - Monsieur est ce que vous avez les élixirs de Cupidon,  de Venus . Demanda-elle avec sa voix mielleuse.

     

    - Ma pauvre jeune fille, ce sont des élixirs très dangereux et je ne vends pas cela dans ma boutique et comme je l’ai déjà dit a votre frère hier et que vous ne vouliez pas comprendre ma boutique ne vend pas ce genre de produit. Une si charmante fille telle que vous n’en a pas besoin et avec votre charme, vous allez bien arriver de façon naturelle a attirée un charmant jeune homme.

     

    - De toute façon c'est pour moi. Regardez-moi bien, est-ce que j’ai l’air de m’importe qui ? Vous savez qui je suis ? J’appartiens à l’illustre famille André de Chicago et si je le veux, en un claquement de doigt, je peux vous faire fermer boutique. Je suis très influente et ma famille a des liens avec Monsieur le maire, nous avons subventionné sa dernière campagne. Vous voyez ce que je veux dire ? J’espère que vous n’êtes pas stupide ! Aller, hors de ma venue misérable commerçant ! J'espère que vous trouverez au moins ce que je vous demande. Je n'ai qu’un coup de fil à passer pour que vous avez plein d’ennuie.

     

    Élisa alors furibonde dit très en colère :

     

    - Je le savais, des pouilleux de votre genre ne peuvent pas vendre cela. Neil, viens ici !

     

    De loin, Alistair entendait les éclats de voix de sa charmante cousine. Neil fut lui aussi intriguer par la même boite que son cousin, mais heureusement pour nous, ce fut  Alistair qui la trouva le premier et ne semblait guère à vouloir lui donner la boite.

     

    - Tu vas ne la donner cette boite ?! Je l’ai vue le  premier !

     

    - Quoi ? C'est à  moi, je ne te la donnerais pas !

     

    - Je vais le dire à la grande tante que tu m’as pas été aimable avec moi.

     

    - Neil, tu devrais plutôt chercher des filtres qui rendent intelligent, mon cher cousin. Jamais une fille de toute façon ne s’intéressa à toi, tu es bien trop stupide pour comprendre cela.

     

    - Qu’est-ce que tu as dis ? Répète pour voir !

     

    - Neil, on sort. Il n’y a pas ce que l’on veut dans cette boutique et puis ça craint, j'ai horreur de ce quartier tous ces gens bizarre… Allons-y !

     

    Les Legrand sortirent sans rien acheter et Élisa en furie, avait bien observé la boite de son cousin.

     

    Neil lui dit :

     

    - Je suis sûr que ce que l'on cherche est dans la boite que tient Ali. Jamais monsieur Lee ne voudra nous vendre les élixirs que l'on veut, il nous a déjà dis que jamais il nous permettra d'acheter ce genre de produits. On va faire quoi maintenant sœurette si on ne peut  l'avoir ? Jamais Anthony ne t'aimera avec cette gourgandine dans les pattes.

     

    - Ne t’inquiète pas frérot, on va la récupérer de façon. Il est hors de question de le laisser au bras de cette fille d’écurie ! Jamais elle ne l’aura, moi vivante, jamais ! Je te le jure mon frère !

     

    - Tu as raison sœurette !

     

    Élisa  suivait toujours Neil qui partait dans les quartiers huppés de la ville faire la suite de leur course. Alistair toujours intrigue par la boite décida de l’acheté, il fut rejoins par Anthony peu de temps après.

     

    - Que te voulaient-ils ? Toujours aussi infecte ces deux là !

    - J’ai l’habitude. Ce sont quand même nos charmants cousins !

    - Hélas ! Pour tout te dire, je ne  suis  pas vraiment sûr qu’on vienne de la même famille.

     

    Sur ces mots les cousins rirent de bon cœur.

     

    - Au fait, as-tu trouvé que tu cherches ?

    - Oui, j’ai le remède pour la tante et l’ingrédient secret pour pouvoir maintenir mon cadeau pour Candy. J’espère que ma surprise va éclore bientôt !

     

    - Tu as bien l’air fou de cette fille mon cousin.

     

    - Je n’ai jamais aimé quelqu'un comme elle, elle me manque déjà.

     

    - J’en suis ravi pour toi, tu as l’air plus épanouie.

     

    - Merci Ali.

     

    Les deux garçons payèrent leurs achats et quittèrent la boutique. Ils allèrent ensuite en ville manger une glace avant de retourne à Lakewood.

     

    Les Legrand eux étaient toujours à la recherche d’un plan pour nuire enfin à Candy. Élisa ne supportait pas qu’une orpheline puise avoir un statut social plus élevé que le sien. Elle était toujours  avec Neil faire les grands magasins à la recherche de la parfaite tenue en vue de la prochaine fête organiser en l’honneur de l’adoption de Candy par la famille André et espérait parvenir à trouver une robe plus splendide que la sienne, dans l’intention d’accaparer  l’attention d’Anthony. La vielle tante était contre cette adoption, mais ordre du grand oncle William, elle ne pouvait aller à son encontre. Malgré cela, elle décida d’organiser une fête pour cet honneur.


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  •                                

         Délire d’inventeur du génial ALISTAIR

     

    Délire d'inventeur du génial Alistair : chapitre 1

                                        Chapitre 1

     

     Alistair Cornwell était un inventeur farfelu. La plupart du temps son frère Archibald le « dandy » qui avait la particularité de collectionner les chemises en soie, lui reprochait de rater souvent ses inventions. Alistair aimait beaucoup se réfugier dans son atelier où il passait son temps à créer, à bidouiller, à bricoler et à inventer toutes sortes d’objets dans la demeure de Lakewood appartenant à l’illustre famille André de Chicago. Il y vivait avec son frère et son cousin Anthony Brown qui vivait avec eux suite au décès de sa mère Rosemarie survenue quand il était encore un très jeune enfant. Son père étant marin ne pouvait pas s’en occuper, il fut placé avec les deux autres sous la tutelle de la vielle tante Elroy qui s'occupait aussi de leur éducation en absence de leurs parents. Mr Brown était souvent sur son navire et Mr et Mme Cornwell vivaient en Arabie Saoudite. Depuis quelque temps, les trois jeunes hommes vivaient avec une charmante jeune fille adoptée par leur grand oncle, en partie à leurs demandes. Les trois jeunes garçons ne supportaient plus les conditions de vie de cette dernière chez les Legrand et avaient écrit au grand oncle William pour qu'il puisse l’adoptée. Son nom c'est Candice Neige dit Candy pour les intimes. C'était en partie pour fuir l’autorité de la grande tante qu’Alistair aime tant passe du temps dans son atelier

     

    A cote d'eux se trouvait la maison des ignobles Legrand, leur tante Sarah, son mari dont personne ne connait le prénom et leurs charmants cousins l’amicale et très charmante Élisa et son frère le très courageux Neil. Je sais je fais de l’humeur Élisa est tous sauf charmante et amicale, plutôt peste et collante dès qu’il s’agit de cousin Anthony qui ne semble guère l’apprécier. Elle était d’une jalousie maladive depuis que Candy avait été adoptée par le grand oncle. Et son frère est plus poltron que courageux. Se sont les Legrand, ils auront un part importante dans cette histoire que je vais du mieux que je peux vous narrer par la suite. 

                             

     C'est en hommage à sa mère qu’Anthony aime tant les roses. Au fil des années il savait comment les entretenir et il était parvenue mais a en créer de nouvelle espèce, il était devenu un as en botanique. C’est un jour qu’Anthony décida d'emmener son cousin Alistair en ville, à la recherches de nouveaux plantes pour confection un cadeau spécial pour sa douce Candy qui lui rappelle tant sa défunte mère,. Elle possédait aussi la même empathie pour les autres et la même douceur de caractère que la jeune fille. C'est dans les quartiers chinois de la ville de Chicago, dans le quartier de Chinatown exactement qu’ils firent la connaissance Monsieur Lee un célèbre apothicaire. Ce jour-là, monsieur Lee qui avait le matin même reçut son réapprovisionnement de marchandise, déballait les nouvelles livraisons avec son neveu qui l’aidait depuis une semaine à la boutique. Il avait reçu parmi son nouveau stock, une nouvelle plante inconnue du grand public venue tout droit du sommet du mont Everest à la vertu puissante pouvant devenir très dangereuse si elle tombait  entre des mains malveillantes.

     

    Monsieur Lee du fond de sa réserve dit à son neveu :

     

    - Ne mets surtout pas à la vente la boite bleue avec les dragons ! C'est une plante dont j’aurai besoin bientôt pour un remède.

    Son neveu qui se trouvait dans l’entrée du magasin entendit  mal son oncle et lui demande :

    - De quelle boite parles-tu ?

    - La bleue avec les dragons. Attention de ne pas te tromper et de prendre la bonne boite !

     

    Hélas ce matin là dans l’inventaire il avait deux boites bleues, une avec de chaque côté des dragons et l’autre avec deux dragons côte à côte.

     

    - Ça doit être celle que parle mon oncle, dit-il en prenant hélas la mauvaise boite.

     

    Anthony suivit d’Alistair entrèrent dans la célèbre échoppe connue pour fournir n’importe quelle remède.

     

    - Dis-moi Anthony, que faisons-nous là ?

     - C'est pour la grande tante, je cherche un remède pour la soulage des rhumatismes, elle est déjà très âgée.

                 


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  • abel et georgie kiss


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